Accueil→ SĂ©ries → Canal+ → 2015 → Le bureau des lĂ©gendes → Saison 2 Épisode 1. Épisode 1 Regarder sur Sundance Now 13K membres En Iran, Marina a pour mission de dĂ©couvrir si les ingĂ©nieurs du nuclĂ©aire envisagent de
Article initialement publiĂ© le 4 mai 2016 sur le tournage de la saison 2 du Bureau des LĂ©gendes » Le Bureau des lĂ©gendes », plongĂ©e ultrarĂ©aliste dans le sanctuaire de la DGSE, revient sur Canal+ pour une deuxiĂšme saison. TĂ©lĂ©Obs » a infiltrĂ© les coulisses de cette sĂ©rie française de haut suite aprĂšs la publicitĂ©Un hameau perdu dans la rocaille. Devant le muret d’une Ă©cole plantĂ©e sur une colline pelĂ©e, des gamins en survĂȘt jouent au foot. A cĂŽtĂ© d’eux, trois-quatre tentes militaires griffĂ©es du sigle d’une ONG mĂ©dicale. Un escadron de pick-up immatriculation irakienne se descendent des barbus Ă  turban et kalachs. Un drapeau noir de sinistre rĂ©putation claque au vent, le cagnard grille Ă  peu prĂšs tout ce qui n’est pas Ă  l’ombre. Nous sommes le 9 novembre 2015, Ă  50 kilomĂštres au sud de Marrakech, et l’équipe du Bureau des lĂ©gendes » peaufine une sĂ©quence cruciale, censĂ©e clore la seconde saison de cette remarquable sĂ©rie d’espionnage Ă  la française. PortĂ©e par un Mathieu Kassovitz impressionnant de self-control il campe le rĂŽle d’un agent de la DGSE transgressant en douce le rĂšglement maison pour sauver la femme qu’il aime, la premiĂšre saison, diffusĂ©e l’an dernier sur Canal+, a su dĂ©finir un style rĂ©aliste et dĂ©pouillĂ©, un ton clinique, un suspense ciselĂ© par une qualitĂ© d’écriture prodigieuse, nettement au-dessus du tout-venant de la production Giraudeau TOP-The Oligarchs Productions/Canal+ Que les plus sceptiques se rassurent le lancement de la deuxiĂšme saison n’est pas corrĂ©lĂ© au succĂšs public de la premiĂšre. Pionnier parmi les cinĂ©astes français d’envergure Ă  se frotter Ă  la sĂ©rie depuis le renouveau du genre il y a dix ans on lui doit Un monde sans pitiĂ© » ou les Patriotes » sur grand Ă©cran, et Mafiosa » Ă  la tĂ©lĂ©, Eric Rochant, crĂ©ateur du projet, a signĂ© dĂšs l’origine un contrat de trois ans avec le diffuseur. La sĂ©rie est donc conçue, produite et pensĂ©e comme un long-mĂ©trage de 30 heures. Pendant que nous tournions la saison 1, le pĂŽle Ă©criture planchait dĂ©jĂ  sur la saison 2 », explique Eric Zaouali, directeur de production, prĂ©sent ce jour-lĂ  au Maroc. L’enjeu compresser le temps, de maniĂšre Ă  livrer le scĂ©nario en amont du tournage de la saison suivante. On a livrĂ© le script de la saison 2 mi-avril, aux environs de la diffusion de la saison 1. Puis on a enchaĂźnĂ© le tournage de la saison 2 fin septembre jusqu’en fĂ©vrier, tout en prĂ©parant la saison 3. » Pour autant, le temps d’écriture n’est pas fixe, poursuit Zaouali. On ne tourne pas tant qu’elle n’est pas finie », confirmant par lĂ  mĂȘme l’impression laissĂ©e au visionnage la richesse du programme rĂ©side bel et bien dans le soin apportĂ© au suite aprĂšs la publicitĂ© Le visionnage de cette vidĂ©o est susceptible d'entraĂźner un dĂ©pĂŽt de cookies de la part de l'opĂ©rateur de la plate-forme vidĂ©o vers laquelle vous serez dirigĂ©e. Compte-tenu du refus du dĂ©pĂŽt de cookies que vous avez exprimĂ©, afin de respecter votre choix, nous avons bloquĂ© la lecture de cette vidĂ©o. Si vous souhaitez continuer et lire la vidĂ©o, vous devez nous donner votre accord en cliquant sur le bouton ci-dessous. Plus de terrain et donc d’action »Quelles nouveautĂ©s, alors, par rapport Ă  la saison 1 ? Des personnages inĂ©dits rejoignent le directeur Duflot Jean-Pierre Darroussin, la psy Balmes LĂ©a Drucker ou l’amour secret de Malotru » Kassovitz, Nadia El Mansour Zineb Triki une fraĂźche recrue de la DGSE nommĂ©e CĂ©cile Delorme, incarnĂ©e par Pauline Etienne, d’abord. Son Ă©motivitĂ© lui joue des tours. Elle est en formation, un peu dans la veine du personnage de Sara Giraudeau pendant la premiĂšre saison », confie l’actrice. CĂŽtĂ© bad guys, ensuite, la vedette 2016 est un Ă©gorgeur djihadiste issu d’une citĂ© française Ă  qui le jeune IllyĂšs Salah prĂȘte ses prĂ©caution de la production pour parer Ă  tout risque d’évaporation du suspense le nom de son personnage est pour l’instant secret-dĂ©fense. Ceci posĂ©, on ne spoilera rien si l’on vous rĂ©vĂšle que son visage est en partie masquĂ© par une longue barbe Ă  la Ben Laden. SynthĂ©tique, la barbe Je n’avais pas la pilositĂ© requise, se marre l’acteur. A part la moustache ! »Plus largement, il y aura plus de terrain et donc d’action », dĂ©voile Rochant, restĂ© Ă  Paris, qui suit en quasi-direct le dĂ©roulement des opĂ©rations au Maroc. L’an dernier, le rĂ©cit se focalisait sur le fonctionnement interne de la DGSE. Malotru » Kassovitz rentrait de sa mission en Syrie et organisait depuis Paris la libĂ©ration de l’agent Cyclone », pendant que la jeune Marina Loiseau Sara Giraudeau se formait en France Ă  sa future mission Ă  l’étranger - infiltrer un institut de sismologie en Iran. Cette fois, la jeune femme a posĂ© ses valises Ă  TĂ©hĂ©ran, et son collĂšgue Sisteron part Ă©galement Ă  l’aventure. Ce qui n’est pas pour dĂ©plaire Ă  son interprĂšte, Jonathan ZaccaĂŻ J’avais demandĂ© Ă  Eric que mon personnage bouge davantage. J’ai obtenu ce que je voulais, mĂȘme si c’est surtout dĂ» au hasard. » On lui fait remarquer que Sisteron s’était dĂ©jĂ  baladĂ© en AlgĂ©rie l’annĂ©e derniĂšre. ZaccaĂŻ pouffe. J’avais tournĂ© toutes mes scĂšnes en intĂ©rieur. A Saint-Ouen. »La suite aprĂšs la publicitĂ©Sara Giraudeau TOP-The Oligarchs Productions/Canal+Casablanca devient TĂ©hĂ©ranConsĂ©quence la proportion de tournage en extĂ©rieur est montĂ©e en flĂšche. Et c’est au Maroc, principalement Ă  Rabat, Casablanca et Marrakech qu’ont Ă©tĂ© reconstituĂ©s les principaux dĂ©cors orientaux. De quoi remplir les journĂ©es du chef dĂ©corateur Patrick fidĂšle collaborateur au cinĂ©ma de Christian Vincent il a travaillĂ© sur Quatre Etoiles », les Saveurs du palais » ou l’Hermine » a commencĂ© par rassembler une documentation dantesque Ă  partir des descriptions du scĂ©nario l’Iran, les tribunaux islamiques, le ministĂšre de la Culture, les prisons locales
 Idem pour les sĂ©quences qui se dĂ©roulent en Syrie. On a rĂ©cupĂ©rĂ© des tonnes de photos de rues, d’élĂ©ments caractĂ©ristiques. Puis j’ai engagĂ© une graphiste iranienne pour faire les enseignes en persan. » Les repĂ©rages sont plus succincts nul besoin de quadriller toutes les citĂ©s du royaume de Mohammed VI pour savoir que Casablanca Ă©tait toute dĂ©signĂ©e pour reprĂ©senter les rues de TĂ©hĂ©ran Ce sont deux villes modernes. Le reste du Maroc Ă©tait gĂ©nĂ©ralement trop colorĂ© pour y dupliquer l’atmosphĂšre syrienne ou iranienne. On cherchait des tons beiges, blanc cassĂ©. » C’est pour cette raison qu’il a fait repeindre le mur de cette Ă©cole de la campagne de Marrakech qu’il nous montre du doigt. On est censĂ©s se trouver en Irak et le muret Ă©tait Ă  la base ocre rouge. Une couleur beaucoup trop associĂ©e Ă  Marrakech. » La suite aprĂšs la publicitĂ©Eric Rochant TOP-The Oligarchs Productions/Canal+Eric Rochant, chef d’orchestrePar-delĂ  le grand dĂ©ploiement logistique liĂ© aux dĂ©cors, tourner Ă  l’extĂ©rieur impose un casse-tĂȘte organisationnel particuliĂšrement complexe. Par souci d’amortissement et d’ergonomie, les sĂ©quences parisiennes et marocaines sont mises en boĂźte simultanĂ©ment. Les tournages des Ă©pisodes se chevauchent pour optimiser les dĂ©cors », explique Rochant qui a confiĂ© la mise en scĂšne de 8 Ă©pisodes sur 10 Ă  quatre rĂ©alisateurs le scĂ©nario l’exige, ils dirigent une Ă©quipe de techniciens basĂ©s Ă  Paris, puis une autre, diffĂ©rente, au Maroc - Ă  moins qu’un autre rĂ©alisateur, Antoine Chevrollier, ne se charge des sĂ©quences Giraudeau Un agent trĂšs spĂ©cialUne mĂ©thode qui change les habitudes du rĂ©alisateur HĂ©lier Cisterne, en charge des Ă©pisodes 9 et 10. C’est assez particulier [de tourner au Maroc, NDLR] . On dĂ©barque un peu en mission avec une Ă©quipe diffĂ©rente de celle avec laquelle on tourne habituellement. On doit se caler sur leur fonctionnement. C’est une sensation un peu bizarre mais quand je vois la vitesse avec laquelle ces mecs savent bosser, c’est surtout trĂšs impressionnant. Je n’ai pas forcĂ©ment de complicitĂ© artistique avec eux, mais je me repose sur leur professionnalisme. »L’originalitĂ© du Bureau des lĂ©gendes » rĂ©side prĂ©cisĂ©ment dans cette organisation du travail inĂ©dite en France. Traditionnellement, le rĂ©alisateur a les pleins pouvoirs sur un plateau. Ici, il rend des comptes Ă  Rochant, tout Ă  la fois crĂ©ateur du concept, scĂ©nariste, rĂ©alisateur il a dirigĂ© les deux premiers Ă©pisodes de chaque saison, producteur - un poste Ă  cheval entre DG et chef d’orchestre que les AmĂ©ricains nomment showrunner. L’homme valide le moindre choix, recadre scĂ©naristes et acteurs, supervise le montage. Eric peut retoucher une lumiĂšre au fond d’un plan, confirme Zaouali. On lui envoie chaque jour par e-mail des photos du combo [l’écran de contrĂŽle qui restitue le cadre de la camĂ©ra, NDLR] pour qu’il les valide depuis son bureau Ă  Paris. »La suite aprĂšs la publicitĂ©Mathieu Kassovitz TOP-The Oligarchs Productions/Canal+Des rĂ©alisateurs Ă  l’orĂ©e de leur carriĂšreDe passage Ă  Marrakech, Valentin Rodriguez, son assistant showrunner, transmet les derniĂšres exigences du boss qui s’additionnent au plan de tournage nouveaux plans de coupe, plans d’ensemble
Quelle satisfaction trouve-t-on Ă  tourner ainsi sous contrĂŽle ? Je ne ressens pas la prĂ©sence d’Eric comme un contrĂŽle mais comme une pression utile. Il est une sorte de guide pour moi, plaide HĂ©lier Cisterne, qui avait dĂ©jĂ  tournĂ© trois Ă©pisodes de la saison 1 et s’est distinguĂ© sur grand Ă©cran avec Vandal », sorti en 2013. Au cinĂ©ma, c’est trĂšs rare d’ĂȘtre dans le compagnonnage, la transmission. Avec Eric, c’est l’occasion. Il a vingt-cinq ans de plus que moi, 13 longs-mĂ©trages Ă  son actif. En plus, il me paie pour ça ! Et puis j’ai atterri sur la sĂ©rie par sa volontĂ©. Il m’a dit qu’il ne cherchait pas de faiseurs mais des rĂ©alisateurs avec une exigence cinĂ©matographique. Tourner, c’est un truc trĂšs rare. J’étais en galĂšre d’un financement pour un deuxiĂšme long, on me propose de tourner la sĂ©rie. Je fais quoi, je refuse ? Je fonce, oui ! C’est la premiĂšre fois de ma vie que j’utilise une grue, que je dispose d’un steadycamer. Et peut-ĂȘtre la derniĂšre que je peux travailler avec Kassovitz, Darroussin ou Jonathan ZaccaĂŻ. »Le profil de Cisterne, 34 ans, correspond au portrait-robot des autres rĂ©alisateurs engagĂ©s sur le Bureau des lĂ©gendes », d’Elie Wajeman les Anarchistes » Ă  Samuel Collardey TempĂȘte » en passant par la Marocaine LaĂŻla Marrakchi Rock the casbah » tous issus du cinĂ©ma d’auteur, remarquĂ©s par la critique, plutĂŽt Ă  l’orĂ©e qu’au crĂ©puscule de leur carriĂšre. D’autres rĂ©alisateurs ont Ă©tĂ© sĂ©duits mais ont dĂ©clinĂ©, soit parce qu’ils avaient autre chose Ă  faire, soit parce qu’ils craignaient de ne pas s’inscrire dans le dispositif », poursuit suite aprĂšs la publicitĂ© Les jeunes y rentrent plus facilement. Ils ont moins de libertĂ© mais aussi moins d’emmerdes. Ils n’ont pas l’angoisse des personnages, dĂ©jĂ  construits. Ni celle de savoir si les acteurs sont bien dedans, ils le sont. Toutes les grandes lignes, les dĂ©cors, la lumiĂšre, sont dĂ©finies. Ça purifie la pratique de la mise en scĂšne. Sur quinze jours ou un mois, ça peut avoir son charme. »Eric Rochant, Mathieu Kassovitz TOP-The Oligarchs Productions/Canal+A la DGSE un carnet et un crayonOn retrouve l’équipe du Bureau des lĂ©gendes » quelques semaines plus tard, Ă  Saint-Denis, dans son QG de la CitĂ© du CinĂ©ma, la superstructure toute neuve de Luc Besson. Dans les locaux administratifs, les murs de verre du bureau d’Eric Rochant et de la salle d’écriture sont recouverts de post-it colorĂ©s. Le plateau de tournage, qui s’étend sur un hectare, renferme les diffĂ©rents dĂ©cors qui composent le service de la DGSE donnant son nom Ă  la sĂ©rie salle de rĂ©union de crise, bureau du directeur Duflot, de Malotru
 Il fallait insuffler un esprit Ă  la fois rĂ©aliste et original Ă  ce dĂ©cor, analyse son concepteur Patrick Durand. Et qu’il convienne Ă  Eric Rochant comme Ă  Canal+. J’ai pu visiter les vĂ©ritables locaux de la DGSE avec mon assistante. On devait tout laisser Ă  l’entrĂ©e appareil photo, tĂ©lĂ©phone. Les seules choses tolĂ©rĂ©es un carnet et un crayon. MĂȘme notre mĂštre mesureur nous a Ă©tĂ© confisquĂ©. “C’est un premier outil de renseignement”, nous a-t-on dit ! On a fait plein de croquis, mais il y avait tellement de choses
 Ils ont essayĂ© de nous perdre, de nous montrer des choses fragmentaires. On a quand mĂȘme rĂ©ussi Ă  se faire une idĂ©e gĂ©nĂ©rale pour dĂ©finir la signalĂ©tique, l’architecture. A la seconde visite, on s’est concentrĂ©s pendant une heure et demie, puis, en sortant, on a dessinĂ© de mĂ©moire tout ce qu’on avait vu. »Aujourd’hui, Samuel Collardey est aux commandes il rĂšgle une scĂšne de rĂ©union avec Pauline Etienne, Jonathan ZaccaĂŻ et Mathieu Kassovitz. La star du programme vanne techniciens et partenaires avec une causticitĂ© trompeuse il semble plutĂŽt de bon poil. Le rythme est plus industriel » que sur un tournage classique de long-mĂ©trage, dit-il. On a besoin d’enregistrer six minutes exploitables par jour alors qu’au cinĂ©ma, on tourne quoi, une minute trente, deux minutes grand maximum. A ce rythme-lĂ , on boucle l’équivalent d’un long-mĂ©trage et demi. »Rochant La suite aprĂšs la publicitĂ© MĂȘme pour un film fauchĂ©, tu as plus de temps que pour une sĂ©rie tĂ©lĂ©. Comment en gagner ? En apprenant quoi sacrifier en premier et Ă  hiĂ©rarchiser ses frustrations. » Sans dĂ©perdition de qualitĂ© ? Chacun connaĂźt son boulot, reprend Kassovitz. Sur la saison 2, aucun rĂ©alisateur n’est venu me dire quoi que soit. Sauf me glisser quelques indications purement techniques du genre “N’oublie pas de regarder Ă  droite pour ce plan”. Il n’est pas question de rediscuter du personnage Ă  ce moment-lĂ , on l’a dĂ©fini en amont. On fait de la qualitĂ© en vitesse, avec efficacitĂ©. » Le visionnage de cette vidĂ©o est susceptible d'entraĂźner un dĂ©pĂŽt de cookies de la part de l'opĂ©rateur de la plate-forme vidĂ©o vers laquelle vous serez dirigĂ©e. Compte-tenu du refus du dĂ©pĂŽt de cookies que vous avez exprimĂ©, afin de respecter votre choix, nous avons bloquĂ© la lecture de cette vidĂ©o. Si vous souhaitez continuer et lire la vidĂ©o, vous devez nous donner votre accord en cliquant sur le bouton ci-dessous. A partir du 29 mars, la saison 2 sera disponible gratuitement sur myCanal. Entre le samedi 28 mars et le mardi 31 mars, Canal+ SĂ©ries diffusera les quatre premiĂšres saisons du Bureau des lĂ©gendes », Ă  raison d’une saison par jour, Ă  14h35. La saison 5 sera diffusĂ©e Ă  partir du lundi 6 avril Ă  21h sur Canal+.
Episode2, Épisode 2 de la Saison 2 de Le Bureau des lĂ©gendes, une sĂ©rie TV de Eric Rochant lancĂ©e en 2015. En Iran, Marina Loiseau a Ă©tĂ© tĂ©moin de l'agression d'Asan, son collĂšgue ingĂ©nieur nuclĂ©aire mais avant tout l'objet de sa mission. Pour un regard jugĂ© dĂ©placĂ©, il a Ă©tĂ© violemment battu par Shapur Za Programme TV /Le bureau des lĂ©gendesDisponible dans une option payanteNon diffusĂ© en ce moment Ă  la tĂ©lĂ©visionAu sein de la DGSE, un dĂ©partement appelĂ© le Bureau Des LĂ©gendes BDL forme et pilote Ă  distance les agents les plus importants des services de renseignements français Les sein de la DGSE, un dĂ©partement appelĂ© le Bureau Des LĂ©gendes BDL forme et pilote Ă  distance les agents les plus importants des services de renseignements français Les Molotov pour regarder la TV diffusĂ© en ce moment Ă  la tĂ©lĂ©vision
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