Image3D de la citĂ© perdue de l'Atlantide dans l'ocĂ©an. DĂ©couvrez l’explication de la fin et de la scĂšne post-gĂ©nĂ©rique du film Le Secret de la CitĂ© Perdue ! Spoilers !Le Secret de la CitĂ© Perdue est actuellement au cinĂ©ma ! Si vous souhaitez savoir l’explication de la fin, lisez la suite ! Sandra Bullock joue le rĂŽle d’une romanciĂšre malchanceuse qui se retrouve au centre d’une chasse au trĂ©sor au cƓur de la jungle. Sa fin semble assez explicite, surtout pour un film de ce genre. Pour savoir si Le Secret de la CitĂ© Perdue 2 verra le jour, lisez est ensuite suivie, de maniĂšre inattendue, d’une scĂšne de mi-crĂ©dits qui pourrait bien ĂȘtre l’une des meilleures parties du film, notamment parce qu’elle voit le retour de son meilleur personnage, l’immaculĂ© Jack Trainer. Bien que les deux fins semblent dĂ©fier toute analyse, il est temps d’explorer chacune d’entre elles. Voici l’explication de la fin de Le Secret de la CitĂ© Perdue !Explication du Puits, de la tombe et de la Couronne Le Puits des Larmes Infinies est un indice du hiĂ©roglyphe que Loretta a pu traduire. Elle a d’abord cru qu’il s’agissait d’une sorte de mĂ©taphore, mais il s’est avĂ©rĂ© que c’était un lieu rĂ©el. Le Puits des Larmes Infinies est l’endroit oĂč Calaman et sa femme Taha ont Ă©tĂ© enterrĂ©s la mort de Calaman, Taha n’a jamais cessĂ© de pleurer son amant et l’emplacement de sa tombe n’est pas seulement entourĂ© d’eau, mais aussi de plusieurs chutes d’eau, qui coulent vers le bas comme des larmes tombant des yeux de Taha. C’est aussi un parallĂšle direct avec l’histoire du deuil de Loretta et de l’amour qu’elle portait Ă  son La Tombe de Calaman et la Couronne de feu, elles ne sont pas basĂ©es sur des lĂ©gendes ou une histoire rĂ©elles, pour autant que nous le sachions. Il est vrai que le Saint Graal est basĂ© sur des lĂ©gendes rĂ©elles, mais la CitĂ© perdue de D semble avoir inventĂ© toutes ses propres lĂ©gendes. Cela dit, la CitĂ© perdue de D elle-mĂȘme pourrait ĂȘtre façonnĂ©e d’aprĂšs la CitĂ© perdue de l’ leur a peut-ĂȘtre fallu du temps, mais Loretta et Alan se sont finalement retrouvĂ©s Ă  la fin de Le Secret de la CitĂ© perdue. Le film se termine avec eux en vacances aprĂšs que Loretta a terminĂ© un autre livre et, compte tenu du temps qu’il leur a fallu pour arriver lĂ  oĂč ils sont Ă  la fin, il est probable qu’ils soient ensemble pendant un certain temps. À ce stade, Loretta a acceptĂ© le fait qu’Alan soit son modĂšle de couverture et il est d’accord, sachant qu’il apporte beaucoup de joie aux lecteurs dans son Secret de la CitĂ© perdue est une histoire de poursuite de ce qui semble impossible. Pour Alan, il s’agit d’obtenir de Loretta qu’elle le considĂšre autrement que comme un mannequin de couverture stupide ; pour Loretta, il s’agit de choisir d’écrire sa propre histoire et de continuer Ă  vivre aprĂšs la perte de son mari, ainsi que de trouver la Tombe de Calaman. À la fin de Le Secret de la CitĂ© perdue, elle est dans un bien meilleur Ă©tat et prĂȘte Ă  croire en ce qui semble hors de de la scĂšne post-gĂ©nĂ©riqueDans la scĂšne post-gĂ©nĂ©rique, Jack Trainer informe Loretta et Alan que la raison pour laquelle il a pu survivre au film, malgrĂ© l’explosion de son cerveau, est que les humains n’utilisent que 10% de leur cerveau. AprĂšs avoir reçu une balle dans la tĂȘte, il s’est donc simplement dĂ©placĂ© vers un autre 10%.Le fait que cette blague, et la scĂšne en gĂ©nĂ©ral, n’ait aucun rapport avec le reste du film fait partie de son charme, tout comme, bien sĂ»r, le fait que Jack Trainer qui, malgrĂ© sa trop brĂšve apparition, reste le meilleur personnage soit vivant aprĂšs tout. Avec un peu de chance, une suite le verra accĂ©der aux autres 90 % de son cerveau et devenir un dieu inarrĂȘtable. En attendant, on ne peut qu’espĂ©rer. Deplus, Platon dĂ©crivait la citĂ© de l’Atlantide comme Ă©tant fait de pierres spĂ©ciales – comme mentionnĂ© plus haut -, ce qui est Ă©galement le cas de l’archipel de Santorin. Ce dernier aurait Ă©tĂ© dĂ©truit par l’une des plus grandes Ă©ruptions volcaniques n’ayant jamais existĂ©, et sa population aurait disparu en l’espace de quelques minutes, tout comme pour les atlantes.
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L’Atlantide en grec ancien ገλαΜ᜶ Îœáż†Îż , Atlantis nesos, Ăźle d’Atlas » est une Ăźle fictive mentionnĂ©e dans les Ɠuvres de Platon, TimĂ©e et Critias, dans une allĂ©gorie sur l’orgueil national, oĂč elle reprĂ©sente la puissance navale antagoniste assiĂ©geant l’AthĂšnes antique , l’incarnation pseudo-historique de l’État idĂ©al de Platon dans La RĂ©publique. Dans le mythe, AthĂšnes, contrairement Ă  toute autre nation du monde connu, repousse l’assaut des Atlantes, dĂ©montrant ainsi vraisemblablement la suprĂ©matie de la vision de l’État de Platon. L’Atlantide perd la faveur des dieux et sombre dans l’ocĂ©an Atlantique Ă  la fin de l’histoire. MalgrĂ© son rĂŽle minime dans l’Ɠuvre de Platon, le rĂ©cit de l’Atlantide a eu un impact littĂ©raire important. Les Ă©crits utopiques de divers auteurs de la Renaissance, tels que la Nouvelle Atlantide de Francis Bacon et l’Utopie de Thomas More, ont repris l’aspect symbolique de l’Atlantide. D’autre part, les chercheurs amateurs du XIXe siĂšcle, notamment Ignatius L. Donnelly dans son ouvrage Atlantis The Antediluvian World, ont pris le rĂ©cit de Platon pour une tradition historique. Les suggestions ambiguĂ«s de Platon concernant la date des Ă©vĂ©nements environ 9 000 ans avant son Ă©poque et l’emplacement supposĂ© de l’Atlantide au-delĂ  des piliers d’Hercule » ont suscitĂ© de nombreuses discussions pseudo-scientifiques. En consĂ©quence, l’Atlantide est devenue un terme fourre-tout pour toutes les civilisations prĂ©historiques perdues prĂ©tendument avancĂ©es, et elle continue d’inspirer les fictions actuelles, de la bande dessinĂ©e au cinĂ©ma. Carte de l’Atlantide d’ Athanasius Kircher, la plaçant au milieu de l’ocĂ©an Atlantique, tirĂ©e de Mundus Subterraneus 1669, publiĂ©e Ă  Amsterdam. La carte est orientĂ©e avec le sud en haut. Si les philologues et les classicistes modernes s’accordent sur le caractĂšre fictif de l’histoire, la source d’inspiration reste un point de discorde. Platon est connu pour emprunter librement les allĂ©gories et mĂ©taphores d’autres traditions, comme il l’a fait avec l’histoire de GygĂšs, par exemple. Cela a incitĂ© un certain nombre de chercheurs Ă  considĂ©rer l’éruption de ThĂ©ra, l’invasion des peuples de la mer et la guerre de Troie comme des sources d’inspiration probables pour l’Atlantide. D’autres ont rejetĂ© cette chaĂźne de tradition comme Ă©tant impossible, affirmant que Platon a produit une histoire complĂštement fictive basĂ©e sur des Ă©vĂ©nements contemporains tels que l’invasion athĂ©nienne infructueuse de la Sicile en 415-413 avant ou la destruction d’Helike en 373 avant Sommaire Les dialogues de PlatonTimĂ©eCritiquesInterprĂ©tationsAncienjuif et chrĂ©tienModernePseudo-histoire de l’AtlantisPremiĂšre littĂ©rature influenteImpact du mayanismeIgnace DonnellyMadame Blavatsky et les thĂ©osophesNazisme et occultismeEdgar CayceCes derniers tempsHypothĂšses de localisationDans ou prĂšs de la mer MĂ©diterranĂ©eDans l’ocĂ©an AtlantiqueIrlandeEn EuropeAutres emplacementsInterprĂ©tations littĂ©rairesVersions anciennesUtopies et dystopiesCitĂ© perdueRĂ©cits Ă©piquesReprĂ©sentations artistiquesMusiquePeinture et sculpture Les dialogues de Platon sur l’Atlantide TimĂ©e Les Ɠuvres de Platon, TimĂ©e et Critias, sont les seules sources primaires de l’Atlantide; toutes les rĂ©fĂ©rences ultĂ©rieures Ă  l’üle sont basĂ©es sur elles. Les dialogues prĂ©tendent citer Solon, qui s’est rendu en Égypte vers 590 et 580 avant et a traduit des documents Ă©gyptiens sur l’Atlantide. Platon a prĂ©sentĂ© l’Atlantide dans le TimĂ©e, Ă©crit en 360 avant JĂ©sus-Christ Une traduction latine du XVe siĂšcle du TimĂ©e de Platon Parce qu’il est consignĂ© dans nos archives qu’il Ă©tait une fois votre État qui a arrĂȘtĂ© l’avancĂ©e d’une Ă©norme armĂ©e qui avançait insolemment d’un endroit Ă©loignĂ© dans l’ocĂ©an Atlantique pour assaillir l’ensemble de l’Europe, ainsi que l’Asie. Car l’ocĂ©an Ă©tait navigable Ă  l’époque ; en effet, devant l’embouchure, que vous, Grecs, appelez les piliers d’HĂ©raclĂšs », se trouvait une Ăźle plus grande que la Libye et l’Asie rĂ©unies, et il Ă©tait possible pour les voyageurs de l’époque de passer de cette Ăźle aux autres Ăźles, et des Ăźles Ă  l’ensemble du continent qui les surplombe et qui englobe ce vĂ©ritable Tout ce que nous avons ici, dans l’embouchure dont nous parlons, est clairement un havre avec une petite entrĂ©e ; mais ce lĂ -bas est un vĂ©ritable ocĂ©an, et la zone qui l’entoure peut trĂšs justement ĂȘtre appelĂ©e un continent dans le sens le plus large et le plus pur. Or, il y avait sur cette Ăźle de l’Atlantide une confĂ©dĂ©ration de monarques, une confĂ©dĂ©ration d’un pouvoir Ă©norme et magnifique qui rĂ©gnait sur l’üle entiĂšre, ainsi que sur de nombreuses autres Ăźles et parties du continent. Les politiciens Critias et Hermocrate, ainsi que les philosophes Socrate et TimĂ©e de Locri, apparaissent dans les deux conversations, bien que seul Critias mentionne l’Atlantide. Platon fait un usage considĂ©rable de la mĂ©thode socratique dans ses Ɠuvres afin de discuter de points de vue opposĂ©s dans le contexte d’une prĂ©somption. Le TimĂ©e commence par une introduction avant de passer Ă  une description des crĂ©ations et de la structure de l’univers, ainsi que des civilisations anciennes. Dans l’introduction, Socrate rĂ©flĂ©chit Ă  la sociĂ©tĂ© idĂ©ale dĂ©crite dans la RĂ©publique de Platon vers 380 avant et se demande si lui et ses compagnons peuvent se souvenir d’un rĂ©cit illustrant une telle sociĂ©tĂ©. Le Critias dĂ©crit ensuite l’Atlantide telle qu’elle est Ă©crite dans le Critias, en citant une histoire qui, selon lui, est historique et ferait une excellente illustration. Dans son rĂ©cit, l’AthĂšnes antique semble illustrer la sociĂ©tĂ© idĂ©ale », tandis que l’Atlantide semble ĂȘtre le contraire des caractĂ©ristiques idĂ©ales » Ă©numĂ©rĂ©es dans la RĂ©publique. Critias Selon Critias, les anciennes divinitĂ©s hellĂ©niques se sont partagĂ© le continent afin que chaque divinitĂ© puisse avoir ses propres quartiers; PosĂ©idon a reçu l’üle de l’Atlantide, qui lui plaisait. L’üle Ă©tait autrefois plus grande que la Libye antique et l’Asie mineure rĂ©unies, mais elle a Ă©tĂ© submergĂ©e par un tremblement de terre et s’est transformĂ©e en un banc de boue infranchissable, empĂȘchant tout voyage dans l’ocĂ©an. Platon affirmait que les Égyptiens dĂ©crivaient l’Atlantide comme une Ăźle avec des montagnes au nord et le long de la cĂŽte, et une immense plaine au sud s’étendant dans une direction sur trois mille stades [environ 555 km; 345 mi], mais au milieu Ă  l’intĂ©rieur des terres sur deux mille stades [environ 370 km; 230 mi] ». Une montagne Ă  cinquante stades [9 km; 6 mi] de la cĂŽte Ă©tait basse de tous les cĂŽtĂ©s
 elle Ă©tait divisĂ©e tout autour
 l’üle centrale elle-mĂȘme avait cinq stades [environ 0,92 km; 0,57 mi] de circonfĂ©rence. PosĂ©idon tomba amoureux de Cleito, la fille d’Evenor et de Leucippe, et elle lui donna cinq paires de jumeaux mĂąles, selon l’histoire de Platon. Atlas, l’aĂźnĂ©, devint le monarque lĂ©gitime de toute l’üle et de l’ocĂ©an appelĂ© en son honneur l’ocĂ©an Atlantique, ainsi que de la montagne oĂč il naquit et de ses environs. Gadeirus, ou Eumelus en grec, jumeau d’Atlas, se vit attribuer l’extrĂ©mitĂ© de l’üle, face aux piliers d’Hercule. Ampheres et Evaemon, Mneseus et Autochthon, Elasippus et Mestor, Azaes et Diaprepes sont les quatre autres paires de jumeaux qui reçoivent le contrĂŽle de nombreux peuples et d’une immense rĂ©gion ». PosĂ©idon construisit un palais dans la montagne oĂč rĂ©sidait son amour, l’entourant de trois douves circulaires d’une largeur de un Ă  trois stades et sĂ©parĂ©es par des anneaux de terre de mĂȘme taille. Les Atlantes ont ensuite construit des ponts au nord de la montagne pour relier l’üle au reste du monde. Ils ont construit un vaste canal vers la mer et creusĂ© des tunnels dans les anneaux de roche le long des ponts afin que les navires puissent entrer dans la ville autour de la montagne ; ils ont creusĂ© des quais dans les parois rocheuses des douves. Chaque entrĂ©e de la ville Ă©tait dĂ©fendue par des portes et des tours, et chaque anneau de la ville Ă©tait entourĂ© d’un mur. Les murs Ă©taient faits de grĂšs rouge, blanc et noir extrait des douves, et Ă©taient recouverts de laiton, d’étain et d’orichalque, un mĂ©tal prĂ©cieux. Selon Critias, une lutte a Ă©clatĂ© 9 000 ans avant la naissance de Critias entre ceux qui vivaient Ă  l’extĂ©rieur des piliers d’Hercule dans le dĂ©troit de Gibraltar et ceux qui vivaient Ă  l’intĂ©rieur. À l’intĂ©rieur des piliers d’Hercule, les Atlantes avaient conquis des parties de la Libye jusqu’à l’Égypte, et le continent europĂ©en jusqu’à la TyrrhĂ©nie, rĂ©duisant la population en esclavage. Les AthĂ©niens ont menĂ© une ligue de rĂ©sistance contre l’empire atlante, et lorsque le partenariat s’est effondrĂ©, ils ont vaincu l’empire seuls, libĂ©rant les rĂ©gions conquises. Sculpture de Platon Mais il y eut alors de grands tremblements de terre et des inondations, et tous les hommes guerriers s’enfoncĂšrent dans le sol en un seul jour et une seule nuit de misĂšre, et l’üle de l’Atlantide disparut de la mĂȘme maniĂšre dans les profondeurs de la mer. Il en rĂ©sulte qu’en ces lieux, la mer est inaccessible et impĂ©nĂ©trable Ă  cause d’un banc de boue sur le chemin, qui a Ă©tĂ© produit par l’affaissement de l’üle. Seules quelques parties de l’ouvrage plus ancien Atlantis du logographe Hellanicus de Lesbos ont survĂ©cu. Le livre d’Hellanicus semble ĂȘtre un rĂ©cit gĂ©nĂ©alogique des filles d’Atlas v en grec signifie d’Atlas », bien que certains chercheurs aient spĂ©culĂ© sur un lien probable avec l’üle de Platon. Platon parle de la lignĂ©e des rois de l’Atlantide dans le mĂȘme style qu’Hellanicus, selon John V. Luce, ce qui implique une similitude entre un fragment de l’Ɠuvre d’Hellanicus et un rĂ©cit du Critias. Platon a peut-ĂȘtre empruntĂ© son titre Ă  Hellanicus, qui s’est peut-ĂȘtre inspirĂ© d’un ouvrage plus ancien sur l’Atlantide, selon Rodney Castleden. Platon a Ă©crit sur l’Atlantide vers 359 avant lorsqu’il est revenu de Sicile Ă  AthĂšnes, selon Castleden. Il Ă©tablit certains liens entre la structure physique et les dĂ©fenses de Syracuse et le rĂ©cit de Platon sur l’Atlantide. L’hypothĂšse selon laquelle le dĂ©sir de Platon d’actualiser ses thĂ©ories politiques dans la ville de Syracuse a pu influencer considĂ©rablement le rĂ©cit de l’Atlantide a Ă©tĂ© initialement avancĂ©e par Gunnar Rudberg. Les interprĂ©tations sur l’Atlantide AntiquitĂ© L’Atlantide Ă©tait considĂ©rĂ©e comme un rĂ©cit fictif ou symbolique par certains auteurs anciens, tandis que d’autres la tenaient pour vraie. Platon, le tuteur d’Aristote, a construit l’üle pour enseigner la philosophie, selon Aristote. Crantor, un Ă©lĂšve de XĂ©nocrate, Ă©lĂšve de Platon, est frĂ©quemment citĂ© comme exemple d’écrivain croyant Ă  la vĂ©racitĂ© de l’histoire. Son livre, un commentaire sur le TimĂ©e, est perdu, mais Proclus, un nĂ©oplatonicien du cinquiĂšme siĂšcle, le mentionne. Reconstruction de l’Oikoumene monde habitĂ©, une ancienne carte basĂ©e sur la description du monde d’ HĂ©rodote, vers 450 av. Dans la littĂ©rature moderne, la ligne en question a Ă©tĂ© interprĂ©tĂ©e comme affirmant soit que Crantor a visitĂ© l’Égypte, parlĂ© avec des prĂȘtres et vu des hiĂ©roglyphes vĂ©rifiant le rĂ©cit, soit qu’il les a appris lors d’autres visites en Égypte. Selon Proclus, Certains, comme Crantor, le premier commentateur de Platon, croient que l’ensemble du rĂ©cit des Atlantes est de la pure fantaisie. Crantor affirme Ă©galement que les contemporains de Platon se sont moquĂ©s de lui parce qu’il prĂ©tendait ĂȘtre l’inventeur de sa RĂ©publique plutĂŽt que d’adopter les institutions a pris ces critiques suffisamment au sĂ©rieux pour attribuer le rĂ©cit des AthĂ©niens et des Atlantes aux Égyptiens afin de les persuader que les AthĂ©niens vivaient autrefois selon ce systĂšme. La phrase suivante est frĂ©quemment traduite. Crantor ajoute que ceci est confirmĂ© par les prophĂštes Ă©gyptiens, qui prĂ©tendent que ces particularitĂ©s [telles que racontĂ©es par Platon] sont Ă©crites sur des piliers qui sont encore debout. » Cependant, dans l’original, la dĂ©claration commence par l’ambiguĂŻtĂ©, plutĂŽt que par le nom de Crantor; la question de savoir s’il s’agit de Crantor ou de Platon est un point de discorde. Le pronom se rĂ©fĂšre Ă  Crantor, selon les partisans de l’Atlantide en tant que conte symbolique et de l’Atlantide en tant qu’histoire. Alan Cameron soutient que le pronom doit ĂȘtre interprĂ©tĂ© comme faisant rĂ©fĂ©rence Ă  Platon, et que lorsque Proclus Ă©crit que nous devons garder Ă  l’esprit, concernant tout cet exploit des AthĂ©niens, qu’il ne s’agit ni d’un simple mythe ni d’une histoire sans fioritures, bien que certains le prennent pour de l’histoire et d’autres pour un mythe », il traite le point de vue de Crantor comme une simple opinion personnelle, rien de plus ; en fait, il le cite d’abord et le consterne ensuite », il traite le point de vue de Crantor » comme une opinion personnelle, rien de plus. Cameron souligne en outre que cette phrase, qu’elle se rĂ©fĂšre Ă  Platon ou Ă  Crantor, n’étaye pas les conclusions d’Otto Muck » Crantor arriva Ă  SaĂŻs et dĂ©couvrit une colonne totalement recouverte de hiĂ©roglyphes dans le temple de Neith, sur laquelle Ă©tait Ă©crite l’histoire de l’Atlantide. Des Ă©rudits l’ont traduite pour lui, et il a tĂ©moignĂ© que leur version coĂŻncidait complĂštement avec le rĂ©cit de l’Atlantide de Platon » ou avec la demande de J. V. Luce que Crantor envoie une enquĂȘte spĂ©ciale en Égypte. » Et il est possible qu’il fasse simplement allusion aux dĂ©clarations de Platon lui-mĂȘme. On peut trouver une description du paysage de l’Atlantide dans un autre paragraphe du commentaire de Proclus sur le TimĂ©e » Certains auteurs qui ont fait des recherches sur les Ă©lĂ©ments entourant la mer extĂ©rieure ont affirmĂ© qu’il existait autrefois une Ăźle de cette nature et de cette taille. Selon eux, il y avait Ă  l’époque dans cette mer sept Ăźles sacrĂ©es Ă  PersĂ©phone, ainsi que trois autres de taille immense, l’une sacrĂ©e Ă  HadĂšs, une autre Ă  Ammon, et une troisiĂšme entre elles Ă  PosĂ©idon, avec une superficie totale de mille stades [200 km]; et ses habitants – ajoutent-ils – conservaient le souvenir de l’üle de l’Atlantide, aux dimensions imposantes, qui y avait rĂ©ellement existĂ© et qui avait rĂ©gnĂ© sur toutes les Ăźles de la mer Atlantique pendant d’innombrables annĂ©es, et qui avait Ă©tĂ© pareillement dĂ©diĂ©e Ă  PosĂ©idon. Or, Marcellus a Ă©crit ces choses dans son Aethiopica. Marcellus n’a pas encore Ă©tĂ© identifiĂ©. Strabo et Posidonius Ă©taient deux autres historiens et philosophes antiques qui croyaient en l’existence de l’Atlantide. Certains spĂ©culent que les piliers d’Hercule » pourraient avoir fait rĂ©fĂ©rence Ă  des montagnes de chaque cĂŽtĂ© du golfe de Laconie avant le sixiĂšme siĂšcle avant et qu’ils Ă©taient peut-ĂȘtre une composante du culte des piliers Ă©gĂ©ens. Les montagnes se dressent de part et d’autre du golfe le plus mĂ©ridional de la GrĂšce, le plus grand du PĂ©loponnĂšse, qui s’ouvre sur la mer MĂ©diterranĂ©e. Cela aurait placĂ© l’Atlantide dans la MĂ©diterranĂ©e, donnant de la plausibilitĂ© Ă  de nombreuses affirmations de Platon. Plaid Queue de SirĂšne Bleu Atlanta – Vous voulez vivre une expĂ©rience magique et originale tout en restant dans votre lit ? 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Certains ont interprĂ©tĂ© Ă  tort le tĂ©moignage d’Ammien comme impliquant que lorsque l’Atlantide a sombrĂ© dans la mer, ses habitants ont fui vers l’Europe occidentale ; cependant, Ammien dĂ©clare que les DrasidĂ©s Druides rappellent qu’une partie de la population est indigĂšne, mais que d’autres ont Ă©galement Ă©migrĂ© depuis des Ăźles et des terres situĂ©es au-delĂ  du Rhin » Res Gestae ce qui implique que les immigrants sont venus du nord. Au contraire, les Celtes qui vivaient prĂšs de la mer Ă©taient censĂ©s vĂ©nĂ©rer des dieux jumeaux appelĂ©s Dioscori, qui leur apparaissaient comme venant de la mer. Le christianisme et le judaĂŻsme Dans son ouvrage Sur l’éternitĂ© du monde, xxvi. 141, le philosophe juif hellĂ©nistique Philon parle de la destruction de l’Atlantide dans un long paragraphe censĂ© citer le successeur d’Aristote, ThĂ©ophraste 
Et l’üle d’Atalantes [orthographe du traducteur ; original áŒˆÎ»Î±ÎœÎŻ »], qui Ă©tait plus grande que l’Afrique et l’Asie, comme Platon le prĂ©tend dans le TimĂ©e, fut engloutie sous la mer en un jour et une nuit par un tremblement de terre et une inondation extraordinaires et disparut, devenant une mer, non navigable pleine de goufrres et de tourbillons. À propos de cette phrase, le thĂ©ologien Joseph Barber Lightfoot PĂšres apostoliques, 1885, II, p. 84 a Ă©crit ClĂ©ment pourrait faire allusion Ă  un pays bien connu mais difficile d’accĂšs qui se trouve au-delĂ  des piliers d’Hercule. Mais il est plus probable qu’il ait imaginĂ© une terre inconnue au-delĂ  de l’ocĂ©an, Ă  l’extrĂȘme ouest, semblable Ă  la lĂ©gendaire Atlantide de Platon
 » D’autres Ă©crivains du dĂ©but du christianisme ont Ă©crit sur l’Atlantide, mĂȘme s’ils Ă©taient divisĂ©s sur la question de savoir si elle avait rĂ©ellement existĂ© ou s’il s’agissait d’un faux conte paĂŻen. Tertullien croyait en l’existence de l’Atlantide et affirmait que [l’üle] de taille Ă©quivalente Ă  la Libye ou Ă  l’Asie » existait autrefois dans l’ocĂ©an Atlantique, faisant rĂ©fĂ©rence Ă  la description gĂ©ographique de l’Atlantide par Platon. Arnobius, un des premiers apologistes chrĂ©tiens, croyait que l’Atlantide avait existĂ©, mais il attribuait sa destruction aux paĂŻens. Dans sa Topographie chrĂ©tienne du sixiĂšme siĂšcle, Cosmas Indicopleustes a parlĂ© de l’Atlantide pour tenter d’illustrer sa conviction que le globe Ă©tait plat et recouvert d’eau De mĂȘme, le philosophe TimĂ©e dĂ©crivait cette Terre comme Ă©tant encerclĂ©e par l’OcĂ©an, et l’OcĂ©an comme Ă©tant entourĂ© par la Terre plus lointaine. Il croit en effet qu’à l’ouest se trouve une Ăźle Ă©norme, l’Atlantide, situĂ©e dans l’ocĂ©an en direction de Gadeira Cadix, et que les dix rois, s’étant procurĂ© des mercenaires parmi les nations de cette Ăźle, vinrent de loin pour conquĂ©rir l’Europe et l’Asie, mais furent ensuite conquis par les AthĂ©niens, tandis que l’üle elle-mĂȘme fut submergĂ©e par Dieu sans ĂȘtre dĂ©tectĂ©e. Ce philosophe est louĂ© Ă  la fois par Platon et Aristote, et Proclus a produit un commentaire sur lui. Il transmet des opinions similaires aux nĂŽtres, mais avec quelques diffĂ©rences, en dĂ©plaçant les Ă©vĂ©nements de l’est Ă  l’ouest. De plus, il discute de ces dix gĂ©nĂ©rations ainsi que du monde au-delĂ  de l’OcĂ©an. En un mot, il est clair que tous s’inspirent de MoĂŻse et publient ses paroles comme Ă©tant les leurs. Moderne En dehors du rĂ©cit original de Platon, les interprĂ©tations modernes de l’Atlantide sont un amalgame de nombreux mouvements spĂ©culatifs qui ont dĂ©butĂ© au XVIe siĂšcle, lorsque des Ă©rudits ont commencĂ© Ă  associer l’Atlantide au Nouveau Monde. Francisco Lopez de Gomara, Francis Bacon et Alexander von Humboldt ont Ă©tĂ© parmi les premiers Ă  affirmer que Platon faisait rĂ©fĂ©rence Ă  l’AmĂ©rique ; Janus Joannes Bircherod a dit orbe novo non-novo en 1663. le Nouveau Monde n’est pas nouveau ». Une carte montrant l’étendue supposĂ©e de l’Empire Atlante, d’aprĂšs Ignatius L. Donnelly s Atlantis the Antediluvian World , 1882 L’histoire de Platon a Ă©tĂ© prise au pied de la lettre par Athanasius Kircher, qui a dĂ©crit l’Atlantide comme un petit continent dans l’ocĂ©an Atlantique. Le mayanisme, qui peut ĂȘtre datĂ© du dĂ©but de l’ùre moderne, lorsque les imaginations europĂ©ennes ont Ă©tĂ© stimulĂ©es par leurs premiĂšres rencontres avec les peuples indigĂšnes des AmĂ©riques, a des origines dans les vues contemporaines de l’Atlantide. Des vues apocalyptiques et utopiques sont nĂ©es de cette pĂ©riode, inspirant de nombreuses gĂ©nĂ©rations ultĂ©rieures de thĂ©oriciens. La majoritĂ© de ces interprĂ©tations sont classĂ©es dans la catĂ©gorie de la pseudo-histoire, de la pseudo-science ou de la pseudo-archĂ©ologie, car elles prĂ©sentent leurs travaux comme des travaux d’érudition ou scientifiques, mais ne respectent pas les normes et les critĂšres nĂ©cessaires. Abraham Ortelius, cartographe et gĂ©ographe flamand, est considĂ©rĂ© comme le premier Ă  envisager que les continents Ă©taient liĂ©s avant de s’égarer vers leurs positions actuelles. À moins qu’il ne s’agisse d’une fable », Ă©crit-il dans l’édition de 1596 de son Thesaurus Geographicus, l’üle de Gadir ou de Gades [Cadix] sera la partie restante de l’üle de l’Atlantide ou de l’AmĂ©rique, qui n’a pas tant Ă©tĂ© engloutie comme Platon le rapporte dans le TimĂ©e qu’arrachĂ©e Ă  l’Europe et Ă  l’Afrique par des tremblements de terre et des inondations
 ». Les traces de ces ruptures sont visibles dans les saillies de l’Europe et de l’Afrique, ainsi que dans les Ă©chancrures de l’AmĂ©rique, dans les zones des cĂŽtes de ces trois terres qui se font face, vues sur une carte du globe. De sorte que, comme Strabon au livre 2, on peut dire que ce que Platon Ă©crit sur l’Atlantide sur l’autoritĂ© de Solon n’est pas une invention. » Pseudo-histoire de l’Atlantide L’influence de la littĂ©rature ancienne Sir Thomas More a créé le terme utopie » de no place » dans son roman Utopia, paru au XVIe siĂšcle. More a créé un pays fictif basĂ© dans le Nouveau Monde, inspirĂ© de l’Atlantide de Platon et des rĂ©cits des visiteurs des AmĂ©riques. Sa vision idĂ©aliste a créé un lien entre les AmĂ©riques et la sociĂ©tĂ© utopique, que Bacon a explorĂ© dans son livre The New Atlantis vers 1623. Un personnage de la fiction raconte une histoire de l’Atlantide similaire Ă  celle de Platon et situe l’Atlantide en AmĂ©rique. Les gens ont commencĂ© Ă  croire que les ruines mayas et aztĂšques Ă©taient les vestiges de l’Atlantide. L’empire de l’Atlantide L’influence du mayanisme De nombreuses thĂ©ories ont vu le jour sur les origines des Mayas, donnant lieu Ă  une multitude de rĂ©cits et de publications qui tentaient de placer les dĂ©couvertes dans le contexte de la Bible, avec des connotations racistes dans leurs liens entre l’Ancien et le Nouveau Monde. Les EuropĂ©ens pensaient que les indigĂšnes Ă©taient infĂ©rieurs et incapables de construire ce qui Ă©tait aujourd’hui en ruines, ils en dĂ©duisaient donc qu’une autre race Ă©tait Ă  blĂąmer en partageant une histoire commune. Plusieurs universitaires mĂ©so-amĂ©ricains notables, Ă  commencer par Charles Etienne Brasseur de Bourbourg, puis Edward Herbert Thompson et Augustus Le Plongeon, ont formellement suggĂ©rĂ© que l’Atlantide Ă©tait liĂ©e Ă  la culture maya et aztĂšque au milieu et Ă  la fin du XIXe siĂšcle. Brasseur de Bourbourg, un Ă©rudit français qui a beaucoup voyagĂ© en MĂ©so-AmĂ©rique au milieu du XIXe siĂšcle et Ă©tait connu pour ses traductions de textes mayas, notamment le livre sacrĂ© Popol Vuh, ainsi que pour une histoire complĂšte de la rĂ©gion, Ă©tait renommĂ© pour ses traductions de textes mayas, notamment le livre sacrĂ© Popol Vuh. L’autoritĂ© acadĂ©mique de Brasseur de Bourbourg a Ă©tĂ© brisĂ©e peu aprĂšs ces publications en raison de son affirmation selon laquelle le peuple maya descendait des ToltĂšques, qui Ă©taient selon lui la population survivante de la civilisation gĂ©nĂ©tiquement supĂ©rieure de l’Atlantide. Son texte, associĂ© aux images brillantes et romantiques de Jean Frederic Waldeck, qui faisaient visuellement rĂ©fĂ©rence Ă  l’Égypte et Ă  d’autres caractĂ©ristiques de la Vieille Internationale, formait un fantasme faisant autoritĂ© qui piquait la curiositĂ© pour les liens entre les mondes. Augustus Le Plongeon, un pseudo-archĂ©ologue, s’est rendu en MĂ©so-AmĂ©rique et a effectuĂ© certaines des premiĂšres fouilles de plusieurs ruines mayas importantes, inspirĂ©es par les thĂ©ories de diffusion de Brasseur de Bourbourg. Le Plongeon crĂ©e des histoires comme la saga du Royaume de Mu, qui le lie romantiquement, lui et sa femme Alice, aux dieux Ă©gyptiens Osiris et Isis, ainsi qu’à Heinrich Schliemann, qui a rĂ©cemment dĂ©couvert l’ancienne ville de Troie dans la poĂ©sie Ă©pique d’HomĂšre qui avait Ă©tĂ© dĂ©crite comme purement mythique. Il croyait Ă©galement avoir dĂ©couvert des liens entre les langues grecque et maya, ce qui a donnĂ© lieu Ă  une histoire sur la chute de l’Atlantide. Ignatius Donnelly Le livre d’Ignatius L. Donnelly, Atlantis the Antediluvian World, publiĂ© en 1882, a suscitĂ© un intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ralisĂ© pour l’Atlantide. Les premiers Mayas l’ont Ă©normĂ©ment impressionnĂ© et il s’est efforcĂ©, comme eux, de prouver que toutes les civilisations anciennes connues provenaient de l’Atlantide, qu’il considĂ©rait comme une culture trĂšs avancĂ©e, plus Ă©voluĂ©e. Donnelly Ă©tablissait des parallĂšles entre les histoires d’origine de l’Ancien et du Nouveau Monde, attribuant les liens Ă  l’Atlantide, oĂč, selon lui, le jardin d’Eden biblique existait autrefois. Il pensait Ă©galement que l’Atlantide avait Ă©tĂ© dĂ©truite par le Grand DĂ©luge biblique, comme le laisse entendre le titre de son ouvrage. Donnelly est connu comme le PĂšre de la renaissance de l’Atlantide au XIXe siĂšcle », et il est responsable de l’existence continue du mythe. Il a involontairement promu une technique d’investigation alternative Ă  l’histoire et Ă  la science, ainsi que la croyance que les mythes contiennent des informations secrĂštes qui peuvent ĂȘtre interprĂ©tĂ©es ingĂ©nieusement » par ceux qui croient avoir une perspicacitĂ© unique ou exceptionnelle. Madame Blavatsky et les thĂ©osophes Helena Petrovna Blavatsky, une mystique russe, et son amant Henry Steel Olcott ont créé la SociĂ©tĂ© thĂ©osophique dans les annĂ©es 1870 avec une philosophie qui mĂ©langeait le romantisme occidental et les notions religieuses orientales. On attribue souvent Ă  Blavatsky et Ă  ses disciples la fondation du New Age et d’autres mouvements spirituels. Carte de l’Atlantide selon William Scott-Elliott L’histoire de l’Atlantide, Ă©dition russe, 1910 Lorsqu’elle a Ă©crit La Doctrine SecrĂšte 1888, qui, selon elle, avait Ă©tĂ© dictĂ©e en Atlantide, Blavatsky a repris les vues de Donnelly. Selon elle, les Atlantes Ă©taient des hĂ©ros culturels contrairement Ă  Platon, qui les dĂ©crit principalement comme une menace militaire. Elle croyait en une sorte d’évolution raciale par opposition Ă  l’évolution des primates. Les Atlantes Ă©taient la quatriĂšme race racine » dans son processus d’évolution, suivie de la cinquiĂšme, la race aryenne », qu’elle dĂ©crit comme la race humaine actuelle. Les thĂ©osophes pensaient que la civilisation de l’Atlantide avait atteint son apogĂ©e entre 1 000 000 et 900 000 ans, mais qu’elle avait Ă©tĂ© dĂ©truite par des luttes intestines provoquĂ©es par l’utilisation inconsidĂ©rĂ©e des talents psychiques et surnaturels par les habitants. Dans la mĂȘme ligne, Rudolf Steiner, le crĂ©ateur de l’anthroposophie et des Ă©coles Waldorf, ainsi que d’autres thĂ©osophes bien connus comme Annie Besant, ont Ă©crit sur l’évolution culturelle. Certains occultistes ultĂ©rieurs ont suivi l’exemple de Blavatsky, du moins jusqu’à faire remonter les pratiques occultes Ă  l’Atlantide. L’ouvrage de Dion Fortune, Esoteric Orders and Their Work, est l’un des plus connus. Egon Friedell commence son livre Kulturgeschichte des Altertums, et donc son analyse historique de l’AntiquitĂ©, par la culture antique de l’Atlantide, en s’appuyant sur les concepts de Rudolf Steiner et Hanns Hörbiger. Le livre est publiĂ© en 1940. Occultisme et nazisme Blavatsky a Ă©galement Ă©tĂ© influencĂ©e par les travaux de l’astronome du XVIIIe siĂšcle Jean-Sylvain Bailly, qui a orientalisĂ© » le mythe de l’Atlantide dans son continent mythologique de l’HyperborĂ©e, en rĂ©fĂ©rence aux rĂ©cits grecs d’une localitĂ© d’Europe du Nord portant le mĂȘme nom, qui abritait un peuple immense et divin. Selon Dan Edelstein, son remaniement de cette notion dans La Doctrine secrĂšte a donnĂ© aux nazis un prĂ©cĂ©dent mythologique et une justification pour leur plate-forme idĂ©ologique et les atrocitĂ©s qui ont suivi. Les Atlantes, selon les enseignements de Blavatsky, Ă©taient des peuples Ă  la peau olivĂątre et aux caractĂ©ristiques mongoloĂŻdes, ancĂȘtres des AmĂ©rindiens, des Mongols et des Malais actuels. Vers 1900, la thĂ©orie selon laquelle les Atlantes Ă©taient des hyperborĂ©ens, des surhommes nordiques originaires de l’Atlantique Nord ou mĂȘme plus au nord, a Ă©tĂ© popularisĂ©e par Guido von List et d’autres membres du mouvement ariosophique allemand. La Thule Gesellschaft, une loge antisĂ©mite de MĂŒnich antĂ©rieure au parti nazi allemand, en porte le nom voir ThulĂ©. Karl Georg Zschaetzsch 1920 et Herman Wirth 1928 ont Ă©tĂ© les premiers Ă  parler d’une race maĂźtresse nordique-atlante » ou aryenne-nordique » se rĂ©pandant depuis l’Atlantide dans l’hĂ©misphĂšre nord et au-delĂ . Le peuple juif Ă©tait opposĂ© aux hyperborĂ©ens. L’idĂ©ologue du parti Alfred Rosenberg dans Le mythe du vingtiĂšme siĂšcle, 1930 et le chef des SS Heinrich Himmler en ont fait un dogme officiel. Des adeptes du nazisme Ă©sotĂ©rique comme Julius Evola 1934 et, plus rĂ©cemment, Miguel Serrano, ont repris cette idĂ©e 1978. Les anciennes sectes Ă©sotĂ©riques et thĂ©osophiques enseignaient que les Atlantes Ă©taient des peuples non caucasiens Ă  la peau brune, et que par consĂ©quent l’idĂ©e que l’Atlantide soit la patrie de la race caucasienne serait une contradiction. Les organisations Ă©sotĂ©riques modernes, telles que la culture thĂ©osophique, ne considĂšrent pas la sociĂ©tĂ© atlante comme supĂ©rieure ou utopique, mais plutĂŽt comme un stade infĂ©rieur de progression. Edgar Cayce L’Atlantide a Ă©tĂ© frĂ©quemment mentionnĂ©e par le clairvoyant Edgar Cayce. Il a dĂ©clarĂ© que beaucoup de ses sujets Ă©taient des rĂ©incarnations de personnes qui y avaient vĂ©cu pendant ses lectures de vie ». Cayce a dĂ©clarĂ© qu’il Ă©tait capable de donner des descriptions dĂ©taillĂ©es du continent perdu en puisant dans leur conscience collective, les archives akashiques » un mot dĂ©rivĂ© de la thĂ©osophie. Il a Ă©galement affirmĂ© que l’Atlantide Ă©mergerait » Ă  nouveau dans les annĂ©es 1960 ce qui a suscitĂ© un regain d’intĂ©rĂȘt pour cette histoire au cours de cette dĂ©cennie et que les documents historiques de l’Atlantide sont conservĂ©s dans un Hall des archives » situĂ© sous le Sphinx Ă©gyptien. ÉvĂ©nements rĂ©cents La plupart des hypothĂšses de Continent perdu » de l’Atlantide ont commencĂ© Ă  perdre de leur popularitĂ© Ă  mesure que la dĂ©rive des continents Ă©tait gĂ©nĂ©ralement reconnue dans les annĂ©es 1960 et qu’une meilleure comprĂ©hension de la tectonique des plaques dĂ©montrait l’impossibilitĂ© d’un continent perdu dans un passĂ© gĂ©ologiquement rĂ©cent. Julia Annas, professeur de philosophie Ă  l’universitĂ© d’Arizona et spĂ©cialiste de Platon, s’est exprimĂ©e sur la situation La quĂȘte sans fin de l’Atlantide illustre les dangers de la lecture de Platon. Il utilise sans aucun doute un procĂ©dĂ© de fiction typique mettre l’accent sur l’historicitĂ© d’un Ă©vĂ©nement et la rĂ©vĂ©lation d’une autoritĂ© jusqu’alors non divulguĂ©e pour prouver que ce qui suit est une fiction. L’objectif est d’utiliser l’histoire pour Ă©valuer nos attitudes envers le gouvernement et le pouvoir. Si nous passons notre temps Ă  explorer les fonds marins au lieu de rĂ©flĂ©chir Ă  ces dĂ©fis, nous aurons manquĂ© le pouvons voir pourquoi la crainte de Platon de l’écriture imaginative est parfois justifiĂ©e, Ă©tant donnĂ© le malentendu persistant sur Platon en tant qu’historien. Une thĂ©orie sur le contexte historique du rĂ©cit de l’Atlantide est qu’il s’agit d’un avertissement de Platon Ă  ses concitoyens contemporains du quatriĂšme siĂšcle sur les dangers de la poursuite de la puissance navale. Le rĂ©cit de Critias dans le TimĂ©e, selon Kenneth Feder, donne un indice crucial. Critias fait une remarque dans la discussion, en se rĂ©fĂ©rant Ă  la sociĂ©tĂ© imaginĂ©e par Socrate Quand tu parlais de ta citĂ© et de ses habitants l’autre jour, l’histoire que je venais de te raconter m’est revenue Ă  l’esprit, et j’ai Ă©tĂ© frappĂ© de voir comment, par une Ă©trange coĂŻncidence, tu Ă©tais d’accord dans presque tous les dĂ©tails avec l’histoire de Solon. On ne pouvait pas nous informer plus explicitement que toute l’histoire de la rencontre de Solon avec les prĂȘtres et son objectif d’écrire le poĂšme sur l’Atlantide sont une fiction de Platon », Ă©crit Feder, citant A. E. Taylor. HypothĂšses sur l’emplacement de l’Atlantis Les propositions de lieux pour l’Atlantide ont Ă©tĂ© nombreuses depuis l’époque de Donnelly, au point que le mot est devenu une notion gĂ©nĂ©rique, sĂ©parĂ©e du particulier du rĂ©cit de Platon. Cela est Ă©vident dans le fait que beaucoup des sites suggĂ©rĂ©s sont situĂ©s entiĂšrement en dehors de l’Atlantique. Peu d’hypothĂšses d’aujourd’hui sont savantes ou archĂ©ologiques, tandis que certaines sont basĂ©es sur des mĂ©thodes psychiques par exemple, Edgar Cayce ou d’autres pseudo-scientifiques. Par exemple, les chercheurs sur l’Atlantide Jacques Collina-Girard et Georgeos Daz-Montexano affirment que l’hypothĂšse de l’autre est une pseudo-science. Bon nombre des sites proposĂ©s prĂ©sentent certaines caractĂ©ristiques de l’histoire de l’Atlantide de l’eau, une fin cataclysmique, une pĂ©riode de temps significative, mais aucun n’a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© comme Ă©tant une vĂ©ritable Atlantide historique. Dans la mer MĂ©diterranĂ©e ou prĂšs de celle-ci La majoritĂ© des lieux historiquement proposĂ©s se trouvent sur ou prĂšs de la mer MĂ©diterranĂ©e des Ăźles comme la Sardaigne, la CrĂšte, Santorin Thera, la Sicile, Chypre et Malte ; des villes ou des États terrestres comme Troie, Tartessos et Tantalis dans la province de Manisa, en Turquie ; IsraĂ«l-SinaĂŻ ou Canaan ; et le nord-ouest de l’Afrique. Image satellite des Ăźles de Santorin. Depuis l’éruption minoenne et la dĂ©couverte d’Akrotiri sur l’üle en 1964, cet endroit est l’un des nombreux sites censĂ©s avoir Ă©tĂ© l’emplacement de l’Atlantide. L’éruption de ThĂ©ra, qui s’est produite au XVIIe ou XVIe siĂšcle avant et a provoquĂ© un tsunami majeur qui, selon certains chercheurs, a dĂ©truit la civilisation minoenne sur l’üle voisine de CrĂšte, ce qui amĂšne certains Ă  conclure que c’est la catastrophe qui a inspirĂ© le mythe. Les lieux suivants de la rĂ©gion de la mer Noire ont Ă©tĂ© suggĂ©rĂ©s Bosphore et Ancomah un lieu lĂ©gendaire prĂšs de Trabzon. D’autres ont fait remarquer que les montagnes situĂ©es de part et d’autre du golfe de Laconie Ă©taient connues sous le nom de piliers d’Hercule » avant le sixiĂšme siĂšcle avant et qu’elles pourraient ĂȘtre le site gĂ©ographique indiquĂ© dans les documents antiques sur lequel Platon a fondĂ© son histoire. Les montagnes se dressent de part et d’autre du golfe le plus mĂ©ridional de la GrĂšce, le plus grand du PĂ©loponnĂšse, qui s’ouvre sur la mer MĂ©diterranĂ©e. Si l’emplacement de l’Atlantide a Ă©tĂ© interprĂ©tĂ© dĂšs le dĂ©part comme se situant Ă  Gibraltar plutĂŽt que dans le golfe de Laconie, de nombreuses idĂ©es erronĂ©es sur l’emplacement de l’Atlantide ont vu le jour. Platon n’était peut-ĂȘtre pas au courant de cette distinction. Les piliers laconiens s’ouvrent au sud, face Ă  la CrĂšte et Ă  l’Égypte au-delĂ . Cette rĂ©gion a Ă©tĂ© touchĂ©e par l’éruption de ThĂ©ra et l’effondrement de l’ñge du bronze tardif, qui pourrait ĂȘtre la catastrophe mentionnĂ©e par les sources de Platon. Des incidents significatifs de ce type ont trĂšs certainement alimentĂ© des rĂ©cits transmis de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration pendant prĂšs de mille ans. OĂč se trouve l’ocĂ©an Atlantique ? Compte tenu de la similitude des noms, l’emplacement de l’Atlantide dans l’ocĂ©an Atlantique a une certaine allure. L’Atlantide est frĂ©quemment reprĂ©sentĂ©e dans la culture populaire, en conservant le cadre platonicien original tel qu’ils l’interprĂštent. Les Ăźles Canaries et MadĂšre, Ă  l’ouest du dĂ©troit de Gibraltar mais proches de la MĂ©diterranĂ©e, ont Ă©tĂ© suggĂ©rĂ©es comme emplacement possible. D’autre part, des Ă©tudes dĂ©taillĂ©es de leur gĂ©omorphologie et de leur gĂ©ologie ont rĂ©vĂ©lĂ© que des processus gĂ©ologiques tels que la dĂ©charge Ă©rosive, la dĂ©charge gravitationnelle, la flexion lithosphĂ©rique induite par les Ăźles adjacentes et le soulĂšvement volcanique les ont rĂ©guliĂšrement soulevĂ©es au cours des quatre derniers millions d’annĂ©es, sans pĂ©riode significative de subsidence. Diverses Ăźles ou groupements d’üles de l’Atlantique, dont les Açores, ont Ă©galement Ă©tĂ© proposĂ©s comme sites potentiels. De mĂȘme, des carottes de sĂ©diments provenant du plancher ocĂ©anique des Açores, ainsi que d’autres donnĂ©es, montrent que les Açores ont Ă©tĂ© un plateau sous-marin pendant des millions d’annĂ©es. Cependant, la rĂ©gion est cĂ©lĂšbre pour son volcanisme, qui est liĂ© au rifting le long de la triple jonction des Açores. De nombreux Ă©vĂ©nements volcaniques et sismiques ont rĂ©sultĂ© de la propagation de la croĂ»te le long des failles et des fissures existantes. Une remontĂ©e d’eau dans le manteau profond soutient la rĂ©gion, que certains assimilent Ă  un point chaud des Açores. Le rift de Terceira a Ă©tĂ© l’épicentre de la plupart des activitĂ©s volcaniques. Il y a eu environ 30 Ă©ruptions volcaniques terrestres et sous-marines ainsi que de nombreux et puissants tremblements de terre depuis la colonisation des Ăźles au 15e siĂšcle. Le volcan et la caldeira de Sete Cidades, vestiges de l’ancienne activitĂ© volcanique des Açores, sont situĂ©s sur l’üle de So Miguel aux Açores. Spartel, une Ăźle sous-marine dans le dĂ©troit de Gibraltar, a Ă©galement Ă©tĂ© proposĂ©e. l’Atlantide en Irlande Ulf Erlingsson, un physiographe suĂ©dois, a soutenu en 2004 que la lĂ©gende de l’Atlantide Ă©tait basĂ©e sur l’Irlande de l’ñge de pierre. Il a ensuite indiquĂ© qu’il ne croit pas que l’Atlantide ait rĂ©ellement existĂ©, mais que son hypothĂšse selon laquelle sa description correspond Ă  la topographie de l’Irlande a 99,8 % de chances d’ĂȘtre correcte. Aucune archĂ©ologie n’est venue Ă©tayer cette affirmation, selon le directeur du National Museum of Ireland. En Europe Doggerland dans la mer du Nord et la SuĂšde par Olof Rudbeck Ă  Atland, 1672-1702 sont deux idĂ©es pour la localisation de l’üle enfouie. AprĂšs le glissement de Storegga, vers 6100 avant un mĂ©gatsunami est censĂ© avoir submergĂ© le Doggerland et l’üle viking de Bergen. Le plateau celtique a Ă©tĂ© suggĂ©rĂ© comme un emplacement possible, avec un lien avec l’Irlande. Carte montrant l’étendue hypothĂ©tique du Doggerland vers 8 000 av. qui constituait un pont terrestre entre la Grande-Bretagne et l’Europe continentale En 2011, une Ă©quipe dirigĂ©e par le professeur Richard Freund de l’universitĂ© de Hartford a affirmĂ© avoir dĂ©couvert des preuves probables de l’existence de l’Atlantide dans le sud-ouest de l’Andalousie alors qu’elle travaillait sur un documentaire pour la National Geographic Channel. L’équipe l’a dĂ©couvert dans le parc national de Doana, dans la zone qui Ă©tait autrefois le Lacus Ligustinus, entre les provinces de Huelva, Cadix et SĂ©ville, et a Ă©mis l’hypothĂšse que l’Atlantide avait Ă©tĂ© dĂ©truite par un tsunami, en se basant sur les conclusions d’une prĂ©cĂ©dente Ă©tude de chercheurs espagnols publiĂ©e quatre ans plus tĂŽt. Les thĂ©ories de Freund ont Ă©tĂ© contestĂ©es par des experts espagnols, qui affirment qu’il a fait du sensationnalisme avec leurs travaux. Richard Freund Ă©tait un nouveau venu dans notre projet et semblait ĂȘtre impliquĂ© dans sa propre affaire trĂšs controversĂ©e concernant la recherche d’ivoire et d’or par le roi Salomon Ă  Tartessos, la colonie bien documentĂ©e de la rĂ©gion de Doana Ă©tablie au premier millĂ©naire avant », a dĂ©clarĂ© l’anthropologue Juan Villaras-Robles du Conseil national de la recherche espagnol. Rainer W. KĂŒhne, un chercheur allemand, avait dĂ©jĂ  proposĂ© une thĂ©orie similaire basĂ©e uniquement sur l’imagerie satellitaire, qui place l’Atlantide dans les Marismas de Hinojos, au nord de Cadix. Avant cela, dans les annĂ©es 1920, l’historien Adolf Schulten affirmait que Platon avait basĂ© son histoire de l’Atlantide sur Tartessos. Autres localisations de l’Atlantide Plusieurs auteurs ont Ă©mis l’hypothĂšse que l’Atlantide se trouve en Antarctique. Un certain nombre de revendications se concentrent sur les CaraĂŻbes, soit en tant qu’üle Ă©mergente hypothĂ©tique formĂ©e par le bassin du Venezuela, les Grandes Antilles spĂ©cifiquement Porto Rico et Hispaniola, et les crĂȘtes de Beata et d’Aves, ou des emplacements spĂ©cifiques tels qu’une prĂ©tendue formation sous-marine au large de la pĂ©ninsule de Guanahacabibes Ă  Cuba. La proximitĂ© des Bahamas ou le lĂ©gendaire Triangle des Bermudes ont Ă©galement Ă©tĂ© suggĂ©rĂ©s. L’IndonĂ©sie, ainsi que d’autres rĂ©gions des ocĂ©ans Pacifique et Indien, ont Ă©tĂ© proposĂ©es par exemple le Sundaland. Certains ont vu des parallĂšles entre l’Atlantide et un continent perdu au large des cĂŽtes indiennes, connu sous le nom de Kumari Kandam ». InterprĂ©tations imaginaires de l’Atlantide Versions anciennes Platon affirme que le rĂ©cit a Ă©tĂ© entendu par Solon en Égypte et transmis oralement par la famille de Dropides pendant plusieurs gĂ©nĂ©rations jusqu’à ce qu’il parvienne Ă  Critias, un dialoguiste du TimĂ©e et du Critias, afin de rendre sa description de l’Atlantide vraisemblable. Un fragment de l’Atlantide par Hellanicus de Lesbos Solon aurait tentĂ© de transformer la tradition orale de l’Atlantide en un poĂšme qui, s’il Ă©tait publiĂ©, serait plus grand que les Ɠuvres d’HĂ©siode et d’HomĂšre. Bien que l’histoire n’ait jamais Ă©tĂ© terminĂ©e, Solon l’a transmise Ă  Dropides. Le poĂšme de Solon sur l’Atlantide et l’histoire en tant que tradition orale sont niĂ©s par les classicistes modernes. Platon, en revanche, est considĂ©rĂ© comme l’unique crĂ©ateur ou inventeur. Le mot Atlantide » a Ă©tĂ© utilisĂ© par Hellanicus de Lesbos comme titre d’un poĂšme Ă©crit avant Platon, dont on trouve un fragment dans le papyrus Oxyrhynchus 11, 1359. Ce texte, en revanche, se contente de prĂ©senter les Atlantides filles d’Atlas et n’a aucun lien avec la reprĂ©sentation de l’Atlantide par Platon. Zoticus, un nĂ©oplatonicien du troisiĂšme siĂšcle de notre Ăšre, a produit un poĂšme Ă©pique basĂ© sur la reprĂ©sentation de l’Atlantide de Platon Ă  la nouvelle pĂ©riode. Cependant, l’Ɠuvre de Platon avait peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  suscitĂ© des imitations parodiques. L’historien ThĂ©opompus de Chios, Ă©crivant Ă  peine quelques dĂ©cennies aprĂšs le TimĂ©e et le Critias, dĂ©crit une terre au-delĂ  de la mer appelĂ©e MĂ©rope. SilĂšne et le roi Midas ont eu un discours dans le livre 8 de ses Philippiques, qui comprend cette reprĂ©sentation. Les MĂ©ropes, selon SilĂšne, sont une race d’hommes qui grandissent jusqu’à atteindre le double de leur taille normale et vivent dans deux villes sur l’üle de MĂ©rope EusĂšbes , ville pieuse » et Machimos o, ville combattante ». Il affirme Ă©galement qu’une armĂ©e de dix millions de personnes a traversĂ© les mers pour s’emparer de l’HyperborĂ©e, mais qu’elle a abandonnĂ© son plan aprĂšs avoir rĂ©alisĂ© que les HyperborĂ©ens Ă©taient les personnes les plus chanceuses de la planĂšte. Selon Heinz-GĂŒnther Nesselrath, ces caractĂ©ristiques et d’autres du rĂ©cit de SilĂšne sont conçues pour ĂȘtre une parodie de l’histoire de l’Atlantide, afin d’exposer les vues de Platon au mĂ©pris. Utopies & Dystopies – La nouvelle Atlantide AprĂšs la Renaissance, le dĂ©veloppement de fictions utopiques et dystopiques a Ă©tĂ© relancĂ©, le plus cĂ©lĂšbre Ă©tant la nouvelle Atlantide de Francis Bacon 1627, qui dĂ©peint une communautĂ© idĂ©ale au large de la cĂŽte ouest de l’AmĂ©rique. Il est suivi par Thomas Heyrick 1649-1694, qui Ă©crit The New Atlantis » 1687, un poĂšme satirique en trois parties. Son nouveau continent, qui pourrait ĂȘtre une Ăźle flottante dans la mer ou dans le ciel, sert de toile de fond Ă  son exposĂ© sur Le vĂ©ritable caractĂšre de la papautĂ© et du jĂ©suitisme », comme il le dĂ©crit dans une deuxiĂšme Ă©dition. The New Atalantis 1709 de Delarivier Manley, qui se distingue des deux autres par une seule lettre, est un roman dystopique similaire, situĂ© cette fois sur une Ăźle mĂ©diterranĂ©enne fictive. Les abus et l’exploitation sexuels sont utilisĂ©s comme une mĂ©taphore du comportement hypocrite des politiciens dans leurs relations avec la population gĂ©nĂ©rale. Le parti Whig est le centre de la parodie dans l’exemple de Manley, tandis que le socialisme tel qu’il est pratiquĂ© dans l’Atlantide fondĂ©e est la cible de la critique dans The Scarlet Empire 1906 de David Maclean Parry. En Russie, il a Ă©tĂ© suivi par le poĂšme de Velemir Khlebnikov, La chute de l’Atlantide Gibel’Atlantidy, 1912, qui se dĂ©roule dans une dystopie rationaliste du futur qui a dĂ©couvert le secret de l’immortalitĂ© et a perdu tout lien avec le passĂ©. Lorsqu’une esclave tente de rendre fou le grand prĂȘtre de cette philosophie, il l’assassine et provoque un second dĂ©luge, Ă  la suite duquel sa tĂȘte coupĂ©e flotte vengeresse au-dessus des Ă©toiles. The Ancient of Atlantis Boston, 1915 d’Albert Armstrong Manship est un ouvrage lĂ©gĂšrement plus tardif qui expose la sagesse atlante qui rachĂštera la terre. Il est divisĂ© en trois parties un rĂ©cit en vers de la vie et de la formation d’un sage atlante, ses enseignements moraux utopiques, et un drame psychique situĂ© Ă  l’époque actuelle dans lequel un enfant rĂ©incarnĂ© incarnant la sagesse perdue renaĂźt sur terre. Aux yeux des Hispaniques, l’Atlantide avait une signification personnelle plus profonde. Cette terre avait Ă©tĂ© une force coloniale qui avait asservi les peuples de l’Europe ancienne tout en leur apportant la civilisation. Sa disgrĂące dictatoriale avait contribuĂ© Ă  sa disparition, mais aujourd’hui, sa disparition a dĂ©sĂ©quilibrĂ© le monde. Tel Ă©tait le point de vue de Jacint Verdaguer dans sa grande Ă©popĂ©e lĂ©gendaire L’Atlantida 1877. AprĂšs la noyade du prĂ©cĂ©dent continent, Hercule traverse l’Atlantique vers l’est pour crĂ©er Barcelone, avant de revenir Ă  l’ouest vers les HespĂ©rides. L’histoire est racontĂ©e par un ermite Ă  un marin Ă©chouĂ© qui est motivĂ© pour faire naĂźtre le Nouveau Monde afin de rĂ©tablir l’équilibre de l’Ancien » en suivant ses traces. Christophe Colomb Ă©tait, bien sĂ»r, ce marin. Le poĂšme de Verdaguer a Ă©tĂ© Ă©crit en catalan, mais il a Ă©tĂ© largement traduit en Europe et en AmĂ©rique latine. L’une des rĂ©ponses a Ă©tĂ© l’Atlantida argentine 1881 d’Olegario Victor Andrade, qui dĂ©peint l’Atlantide enchantĂ©e, telle que Platon l’avait prĂ©vue, comme une promesse dorĂ©e Ă  la race prolifique » des Latins dans l’Atlantide enchantĂ©e que Platon avait prĂ©vue ». Le mauvais exemple du monde colonisateur, en revanche, persiste. Dans son poĂšme De AtlĂĄntida » 1894, Jose Juan Tablada peint une vision sĂ©duisante d’un royaume oubliĂ© peuplĂ© d’animaux submergĂ©s de la mythologie grecque, dont la SirĂšne du dernier vers du poĂšme. Son regard est fixĂ© sur la quille du navire errant qui dĂ©flore le miroir lisse de la mer sur son passage, libĂ©rant dans la nuit son gazouillis amoureux et la douce berceuse de sa mĂ©chante voix ! L' »Atlantide » 1917 de Janus Djurhuus, en six strophes, contient une contradiction similaire, dans laquelle une cĂ©lĂ©bration de la renaissance linguistique fĂ©roĂŻenne se voit attribuer une ascendance antique en combinant le folklore grec et nordique. Dans le poĂšme, une prĂȘtresse de l’Atlantide est identifiĂ©e comme une figure fĂ©minine Ă©mergeant de la mer sur fond de bĂątiments classiques. Le poĂšte rappelle que les Ăźles FĂ©roĂ© se trouvent lĂ , dans l’ocĂ©an Atlantique Nord, oĂč se trouvaient auparavant les pays rĂȘvĂ©s par le poĂšte », mais aussi qu’une telle figure n’apparaĂźt qu’à ceux qui sont sur le point de se noyer dans la croyance nordique. L’atlantide & la citĂ© perdue Parce que l’Atlantide est une terre mythique perdue, elle est devenue le symbole de quelque chose qui n’est plus accessible. Pour la poĂ©tesse amĂ©ricaine Edith Willis Linn Forbes 1865-1945, L’Atlantide perdue » reprĂ©sente l’idĂ©alisation du passĂ© ; le moment prĂ©sent ne peut ĂȘtre aimĂ© qu’une fois qu’on en a pris conscience. Le site de The Lost Land » 1910 est dĂ©couvert par Ella Wheeler Wilcox dans sa jeunesse insouciante. De mĂȘme, les vieux faiseurs de fables se sont efforcĂ©s de trouver un mot/ pour reprĂ©senter que ce qui est parti est parti pour toujours », Ă©crit le poĂšte irlandais Eavan Boland dans Atlantis, a lost sonnet » 2007, alors que les vieux faiseurs de fables se sont efforcĂ©s de trouver un mot/ pour reprĂ©senter que ce qui est parti est parti pour toujours ». Pour certains poĂštes masculins, le concept d’Atlantide est fondĂ© sur l’incapacitĂ© Ă  se rĂ©aliser. Dans son poĂšme Newdigate Prize 1910, Charles Bewley pense qu’il dĂ©coule du mĂ©contentement de la situation. Nous prenons la douceur, et nous sommes heureux de la libĂ©rer de l’alliage du chagrin, parce que la vie est partiellement agrĂ©able et toujours entourĂ©e d’angoisse. Dans un rĂȘve d’Atlantide Dans un poĂšme en prose de 1982, l’Australien Gary Catalano le dĂ©crit comme une vision qui a sombrĂ© sous le poids de sa propre perfection ». Dans son poĂšme de 1941, W. H. Auden propose une voie pour sortir de cette frustration en utilisant la mĂ©taphore d’un voyage vers l’Atlantide. Au cours de ce voyage, prĂ©vient-il, vous rencontrerez diffĂ©rentes dĂ©finitions du but recherchĂ©, pour dĂ©couvrir Ă  la fin que le chemin a toujours menĂ© vers l’intĂ©rieur. RĂ©cits Ă©piques sur l’Atlantis Quelques rĂ©cits en vers de la fin du XIXe siĂšcle complĂštent la littĂ©rature de genre qui Ă©mergeait Ă  l’époque. Deux d’entre eux donnent le rĂ©cit de survivants Ă  long terme de la calamitĂ© qui a englouti le continent. Dans l’Atlantide 1888 de Frederick Tennyson, un marin de la GrĂšce antique navigue vers l’ouest et dĂ©couvre une Ăźle habitĂ©e, qui est tout ce qui reste de l’ancien royaume. Il apprend sa disparition et voit les ruines brisĂ©es de sa splendeur passĂ©e, d’oĂč quelques-uns s’étaient enfuis pour crĂ©er des civilisations mĂ©diterranĂ©ennes. L’histoire est racontĂ©e dans une sĂ©quence de visions dans Mona, Queen of Lost Atlantis An Idyllic Re-embodiment of Long Forgotten History Los Angeles CA 1925 de James Logue Dryden 1840-1925. La chambre funĂ©raire de Mona, parmi les ruines de l’Atlantide, est visitĂ©e par un voyant, qui se rĂ©veille et explique le dĂ©sastre. Suit une Ă©tude des civilisations disparues de l’HyperborĂ©e et de la LĂ©murie, ainsi que de l’Atlantide, Ă  laquelle s’ajoute, pour faire bonne mesure, une importante mythologie spiritualiste. Le Dernier de l’Atlantide de Nicholas Roerich Dans son livre Atlantis and Other Poems Cleveland, OH, 1881, William Walton Hoskins 1856-1919 dĂ©clare qu’il n’a que 24 ans. Son intrigue opĂ©ratique tourne autour de l’empoisonnement du descendant d’un roi nĂ© d’un dieu. En rĂ©ponse, l’empoisonneur usurpateur est empoisonnĂ©, et le continent est dĂ©vorĂ© par les eaux. Le paysage de The Lost Island Ottawa 1889 d’Edward Taylor Fletcher 1816-97 est peuplĂ© de dieux asiatiques. Un ange prĂ©dit l’approche du dĂ©sastre et affirme que si les dirigeants semi-divins du peuple se sacrifient, ils pourront s’échapper. Enfin, The Lost Atlantis or The Great Deluge of All Cleveland, OH, 1898, d’Edward N. Beecher, n’est qu’un vĂ©hicule dogorique pour les opinions de son auteur que le continent Ă©tait l’emplacement du jardin d’Eden ; que la thĂ©orie de l’évolution de Darwin, ainsi que les idĂ©es de Donnelly, sont justes. AprĂšs les annĂ©es 1890, l’Atlantide devient un thĂšme populaire en Russie, avec des poĂšmes inachevĂ©s de Valery Bryusov et Konstantin Balmont, ainsi qu’un théùtre de l’écoliĂšre Larisa Reisner. George V. Golokhvastoff a Ă©crit un autre long poĂšme narratif Ă  New York. Dans son roman de 250 pages intitulĂ© La chute de l’Atlantide 1938, un grand prĂȘtre, troublĂ© par la dĂ©gĂ©nĂ©rescence des classes dirigeantes, tente de construire une entitĂ© androgyne Ă  partir de jumeaux royaux afin de surmonter cette polaritĂ©. Le continent est dĂ©vastĂ© lorsqu’il est incapable de contrĂŽler les pouvoirs libĂ©rĂ©s par sa cĂ©rĂ©monie occulte. ReprĂ©sentations de l’Atlantide dans l’art Musique Au cours des 20 derniĂšres annĂ©es de sa vie, le compositeur espagnol Manuel de Falla a travaillĂ© sur une cantate dramatique basĂ©e sur L’AtlĂĄntida de Verdaguer. Les symphonies de Janis Ivanovs 1941, Richard Nanes et Vaclav Buzek ont toutes reçu ce surnom 2009. Fanfare pour la nouvelle Atlantide », un hommage symphonique Ă  Alan Hovhaness, a Ă©galement Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© opus 281, 1975. En 1913, le compositeur et arrangeur bohĂ©mien-amĂ©ricain Vincent Frank Safranek a composĂ© la suite Atlantis The Lost Continent en quatre parties I. Nocturne et Hymne de louange du matin, II. Une fonction de cour, III. Je t’aime » Le Prince et Aana, IV. La Destruction de l’Atlantide pour orchestre militaire de concert. Sculpture et peinture Les peintures reprĂ©sentant la submersion de l’Atlantide sont peu courantes. La Chute de l’Atlantide, de François de NomĂ©, reprĂ©sente un raz-de-marĂ©e dĂ©ferlant sur la façade d’une ville baroque au XVIIe siĂšcle. Hormis la conception architecturale, elle ressemble beaucoup au film Le Dernier Atlantide de Nicholas Roerich, rĂ©alisĂ© en 1928. François de NomĂ© s The Fall of Atlantis Bien qu’elle ne mentionne pas spĂ©cifiquement l’Atlantide, la Terreur antique Terror Antiquus, 1908 de LĂ©on Bakst est la reprĂ©sentation la plus dramatique de la catastrophe. Il s’agit d’une vue depuis le sommet d’une montagne d’une baie rocheuse percĂ©e par la mer, qui envahit les terres autour des grands monuments de la citĂ© antique. La moitiĂ© supĂ©rieure de l’Ɠuvre est dominĂ©e par un Ă©clair, tandis que la moitiĂ© infĂ©rieure est dominĂ©e par la figure impassible d’une dĂ©esse Ă©nigmatique tenant une colombe bleue entre ses seins. Lors d’une prĂ©sentation publique du tableau en 1909, l’annĂ©e de sa premiĂšre exposition, Vyacheslav Ivanov a reconnu le sujet comme Ă©tant l’Atlantide, et il a Ă©tĂ© suivi par de nombreux commentateurs dans les annĂ©es qui ont suivi. Les sculptures qui font allusion Ă  l’Atlantide sont souvent des individus uniques stylisĂ©s. Le Roi de l’Atlantide 1919-1922 d’Einar JĂłnsson, situĂ© dans le jardin de son musĂ©e Ă  Reykjavk, est l’une des premiĂšres. Elle reprĂ©sente un seul personnage assis sur un trĂŽne ornĂ© soutenu par deux jeunes taureaux, vĂȘtu d’une jupe ceinturĂ©e et portant un grand casque triangulaire. La femme ambulante d’Ivan Metrovi, Atlantis 1946, faisait partie d’une sĂ©rie influencĂ©e par les figures de la GrĂšce antique, avec le symbolisme de la souffrance injustifiable. Le personnage de 4 mĂštres de haut, vĂȘtu d’un Ă©quipement de plongĂ©e, s’élance d’un socle dans les embruns de la fontaine de Bruxelles, connue sous le nom de L’Homme de l’Atlantide 2003, Ɠuvre du sculpteur belge Luk van Soom. L’Ɠuvre semble lĂ©gĂšre, mais la dĂ©claration de l’artiste Ă  son sujet est sĂ©rieuse En raison de la rarĂ©faction des terres habitables, il n’est plus improbable que l’humanitĂ© retourne Ă  l’ocĂ©an Ă  long terme. En consĂ©quence, certaines personnes se transformeront en animaux ressemblant Ă  des poissons. Le rĂ©chauffement de la planĂšte et la montĂ©e des eaux sont des problĂšmes concrets pour le monde en gĂ©nĂ©ral, mais aussi pour les Pays-Bas en particulier 
 L’Hypothetical Continent Map of Shattered Clear Glass, Atlantis de Robert Smithson a commencĂ© comme un projet photographique sur l’üle de Loveladies, dans le New Jersey, en 1969, et a ensuite Ă©tĂ© rĂ©imaginĂ© comme une piĂšce de galerie en verre brisĂ©. Il a dĂ©clarĂ© aimer les paysages qui Ă©voquent la prĂ©histoire », ce que confirme l’esquisse conceptuelle initiale de l’Ɠuvre, qui contient une carte en mĂ©daillon du continent au large de la cĂŽte africaine et au niveau du dĂ©troit de la MĂ©diterranĂ©e.
Produitpar James Cameron, ce programme nous lance sur la dĂ©couverte, des enquĂȘtes sur des artefacts tels que des trouvailles archĂ©ologiques, des photographi
SciencesEspagne La citĂ© mythique de l'Atlantide pourrait bien se trouver dans le sud de l'Espagne et non pas dans l'ocĂ©an indiquent des scientifiques amĂ©ricains. Selon leur hypothĂšse, les vestiges de la ville se trouveraient dans le parc de Doñana, prĂšs de Cadix, engloutis sous des marĂ©cages. © L'Atlantide retrouvĂ©e en Espagne ? Le professeur Richard Freud pense avoir retrouvĂ© la trace de la citĂ© de l'Atlantide. Contrairement au mythe entourant cette ville idĂ©ale que Platon dĂ©crivait il y a ans, elle serait situĂ©e sous les terres marĂ©cageuses du sud de l'Espagne. Le scientifique fait part de son hypothĂšse dans un documentaire diffusĂ© aujourd'hui aux Etats-Unis. Comme le rapporte 20minutes, selon l'Ă©tude, la citĂ© de l'Atlantide se trouverait 80 kilomĂštres Ă  l'intĂ©rieur des terres, dans le parc de Doñana, au nord de Cadix. En se basant sur des donnĂ©es satellite et des images radars, l'Ă©quipe explique qu'une succession de raz-de-marĂ©es aurait Ă©tĂ© Ă  l'origine de la disparition de la citĂ©. Toutefois, le milieu scientifique reste extrĂȘmement sceptique. Il ne s'agirait pas de la premiĂšre annonce de ce type, l'Atlantide ayant dĂ©jĂ  Ă©tĂ© soi-disant retrouvĂ©e une bonne dizaine de fois que ce soit en CrĂȘte, dans l'Antarctique ou encore en plein ocĂ©an Atlantique. Certains historiens pensent mĂȘme que le philosophe grec a tout simplement inventĂ© cette citĂ©. Le mystĂšre demeure.
Atlantide la citĂ© perdue C’est le titre d’une Ă©mission diffusĂ©e par RMC ce vendredi 26 juin dans le cadre de sa sĂ©rie « DĂ©couverte ». Je l’ai donc suivi et comme souvent en pareilles circonstances j’ai constatĂ© que la chaĂźne 24 ne s’embarrasse pas de rigueur scientifique !
En l’espace d’un seul jour et d’une nuit terribles, tout ce que vous aviez de combattants rassemblĂ©s fut englouti dans la terre, et l’üle Atlantide de mĂȘme fut engloutie dans la mer et disparut. » Platon, TimĂ©e, 25d trad. A. C. Platon, l’“inventeur” de l’Atlantide Dans l’antiquitĂ© les philosophes, Ă  travers des mythes et allĂ©gories, donnaient des leçons de morale et de civisme Ă  ces concitoyens. Platon, dans ses dialogues le TimĂ©e et le Critias, raconte une histoire vieille de ans. Il a imaginĂ© “l’Atlantide”, comme il a imaginĂ© la “Caverne des IdĂ©es”, pour expliquer le comportement des gens et parler des rĂ©gimes sociaux, de la corruption, du matĂ©rialisme et de leur effet sur la sociĂ©tĂ©. Selon archĂ©ologue et directeur des fouilles de la citĂ© prĂ©historique Ă  Akrotiri, le philosophe a puisĂ© son inspiration dans des Ă©vĂšnements historiques de la pĂ©riode minoenne, qui ont fascinĂ© l’humanitĂ©, qui ont fait peur et ont provoquĂ© des sentiments de rĂ©vĂ©rence. L’Atlantide dans le mythe de Platon L’üle mythique de l’Atlantide ressemble beaucoup Ă  l’üle actuelle de Santorin Et le peuple mythique des Atlantes ressemble beaucoup aux Minoens. L’Atlantide est attribuĂ©e au dieu de la mer, Poseidon, lors du partage du monde. Atlas, le fils de Poseidon devient roi. Les habitants sont les Atlantes, mi-dieux et mi-humains. Cette Ăźle a la taille d’un continent et la citĂ©-mĂšre du royaume est situĂ©e autour d’un mont, elle est circulaire et entourĂ©e par des fossĂ©s navigables. Elle se trouve au-delĂ  des Colonnes d’Hercule. L’Atlantide une Ăźle fertile et riche Les murs entourant la capitale forment des cercles concentriques et les enceintes de l’acropole du royaume sont revĂȘtues d’orichalque, un mĂ©tal prĂ©cieux comme l’or et brillant comme un â€œĂ©clat de feu”. L’Atlantide est trĂšs fertile et sa terre est riche en mĂ©taux. L’orichalque se trouve en abondance sur l’üle. Les atlantes voyagent beaucoup et s’occupent du commerce. Ayant une grande flotte, ils exportent leurs biens et ils importent des produits qui leur sont nĂ©cessaires pour amĂ©liorer leur niveau de vie. Les Atlantes honorent Poseidon et sacrifient annuellement un taureau le taureau Ă©tait l’animal sacrĂ© des minoens en l’égorgeant sur un autel. Ils sont gonflĂ©s d’orgueil et fondent des colonies autour du royaume. La richesse de l’üle leur permet de vivre harmonieusement en paix entre eux. MalgrĂ© tout, ils deviennent belliqueux, corrompus et avides. Ils rĂ©ussissent Ă  conquĂ©rir toutes les rĂ©gions voisines, sauf AthĂšnes. Leur comportement dĂ©mesurĂ© et irrespectueux vis Ă  vis des dieux, qui leur ont tout donnĂ©, provoque la colĂšre divine et suscite la punition. Soudainement, un cataclysme envoyĂ© par Zeus, dĂ©truit complĂštement leur royaume en un jour et une nuit, faisant disparaĂźtre toute trace de cette civilisation grandiose.
Synopsis- Atlantide, la cité perdue Les réalisateurs James Cameron et Simcha Jacobovici recherchent la trace de l'Atlantide. Des preuves archéologiques montrent qu'il y a 5000 ans, une civilisation se serait étendue de Malte à Gibraltar

Tu incarnes le Fils d'un archĂ©ologue, qui suis les traces de son pĂšre, ton aventure te mĂšneras du Manoir des Drake jusqu'a le citĂ© Perdu de L'Atlantide ! Seras-tu capable de dĂ©couvrir le plus grand mystĂšre de tous les temps ? ou resteras tu bloquer devant les portes de l’Atlantide ! Map jouable en solo. 126 personnes aiment ça J'aime 4051-8201-2619cliquez ici pour copier

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la cite perdue de l atlantide