Lettresde femmes (court métrage), un film de | Synopsis : Sur le front de la Grande Guerre, l'infirmier Simon répare chaque jour les gueules cassées des poilus avec des Elle a mobilisé huit millions de soldats sur le front, mais la Grande Guerre a bouleversé l'existence de tous les Français. Et les plus belles lettres de Paroles de poilus Librio numéro 245 ne peuvent se lire sans les mots, en regard, de leurs familles, leurs compagnes, leurs enfants, leurs mères. C'est l'objet de ce nouvel ouvrage de Jean-Pierre Guéno. Marraines de guerre, soldats des colonies, fusillés, grévistes, planqués, Père Pinard leurs lettres dessinent le quotidien interminable de l'ennui, de la boue, de l'incertitude au front. Simples soldats ou grands écrivains, des anonymes à Guillaume Apollinaire ou Alain-Fournier, ces témoignages racontent la guerre à dimension humaine. Publié simultanément dans une version illustrée aux éditions des Arènes, ce recueil s'inscrit dans les manifestations de commémoration de la guerre de Guéno Jean-PierreEditeur J'AI LUDate de parution 12/10/2013Nombre de pages 189Dimensions x x savoir +Elle a mobilisé huit millions de soldats sur le front, mais la Grande Guerre a bouleversé l'existence de tous les Français. Et les plus belles lettres de Paroles de poilus Librio numéro 245 ne peuvent se lire sans les mots, en regard, de leurs familles, leurs compagnes, leurs enfants, leurs mères. C'est l'objet de ce nouvel ouvrage de Jean-Pierre Guéno. Marraines de guerre, soldats des colonies, fusillés, grévistes, planqués, Père Pinard leurs lettres dessinent le quotidien interminable de l'ennui, de la boue, de l'incertitude au front. Simples soldats ou grands écrivains, des anonymes à Guillaume Apollinaire ou Alain-Fournier, ces témoignages racontent la guerre à dimension humaine. Publié simultanément dans une version illustrée aux éditions des Arènes, ce recueil s'inscrit dans les manifestations de commémoration de la guerre de Guéno Jean-PierreEditeur J'AI LUDate de parution 12/10/2013Nombre de pages 189Dimensions x x / EAN f2091038-c5ef-4049-a647-beefeb0de9ab / 9782290074633 LES POILUS,. LETTRES ET TEMOIGNAGES DES FRANCAIS DANS LA GRANDE GUERRE 1914-1918, Guéno Jean-PierreIl n'y a pas encore d'avis pour ce produit. Livraison à domicileEstimée le 03/09/2022 2,99€ Pour les produits vendus par Auchan, votre commande est livrée à domicile par La Poste. Absent le jour de la livraison ? Vous recevez un email et/ou un SMS le jour de l'expédition vous permettant de confirmer la livraison le lendemain, ou de choisir une mise à disposition en bureau de poste ou Point Relais.

Ondit souvent que ce n’est pas la taille du pénis qui compte. Pourtant, elle jouerait un rôle dans l’attirance qu’ont les femmes

Dissimulées dans un grenier, des lettres d’amour, rédigées par un poilu de 14/18, ont été retrouvées par hasard en Bretagne. C’est un témoignage inestimable ! Un petit bout d’histoire et une preuve que l’amour et l’humanité n’avaient pas totalement quitté le cœur des hommes, à une époque où le monde traversait pourtant l’une de ses périodes les plus sombres. Des lettres d’amour, écrites sur le front par un soldat breton mobilisé pendant la Première Guerre mondiale, ont été retrouvées à Redon, une commune bretonne située en Ille-et-Vilaine. C’est en rénovant le grenier de son nouvel appartement qu’un certain Maxime Le Roux a fait cette magnifique découverte ! En pleins travaux dans les combles, ce dernier remarque en effet un paquet dissimulé sous le toit et, gagné par la curiosité, se décide à en examiner le contenu. Il y découvre d’abord une première lettre datée d’avril 1916, écrite par le caporal Jean Chapron à sa femme Aurélie Guennec, l’amour de sa vie, qu’il surnomme affectueusement sa Lolote chérie ». Intrigué et touché par la plume du poilu, Maxime continue son exploration et met la main sur toute une correspondance qui, malgré l’usure du temps, témoigne de l’amour que le soldat portait à sa chère et tendre, ainsi qu’à sa fille Yvette. Il s’aperçoit ainsi que Jean a écrit une lettre par jour à sa femme pendant les quatre années du conflit avant, hélas, de tomber au champ d’honneur en juillet 1918, quelques mois seulement avant la fin de la guerre, le 11 novembre. Conscient du trésor qu’il vient de retrouver, Maxime se met en tête de retrouver des éventuels descendants du couple, afin de leur remettre ces précieux souvenirs de famille. Il décide alors de publier une annonce dans un journal local et à son grand étonnement, cela va porter ses fruits puisqu’un certain Yves Goujon va rapidement le contacter. Ce dernier n’est autre que le petit-fils du soldat disparu, qui ignorait tout de cette correspondance d’un autre temps. Après une brève prise de contact, les deux hommes se sont rencontrés il y a quelques jours et Yves n’a pas pu cacher son émotion en entrant dans la demeure qui l’a vu naître jadis et dans laquelle il n’avait plus mis les pieds depuis 50 ans. Après s'être imprégné des lieux, non sans une certaine nostalgie, il a reçu des mains de Maxime ces fameuses lettres qu'il gardera précieusement comme des reliques. Une scène très émouvante immortalisée par les caméras de nos confrères de France 3. Considérée comme le premier conflit mondial, la Grande Guerre aura duré 4 ans, 3 mois et 14 jours, entre le 28 juillet 1914 et le 11 novembre 1918. Par son intensité et son caractère destructeur encore jamais vu, elle a profondément marqué les populations et entraîné des bouleversements géopolitiques majeurs, dont les ramifications ont en partie engendré la Seconde Guerre mondiale. Plus de 22 000 000 de personnes civils et militaires ont perdu la vie ou ont été portées disparues, lors de cette guerre abominable que beaucoup croyaient être la Der des der ». Mais c'était sans compter sur l'histoire et la folie des hommes... Durantcette guerre, les femmes ont su s’affirmer dans un contexte difficile. Elles ont joué un rôle social, économique et politique, parfois aux risques de leur vie. Confrontées à leur solitude, ces femmes ont fait preuve d’autonomie afin de
Quatre ans d'horreur, de visions macabres et de sang qui coule. Mais aussi des heures à attendre dans les tranchées, des moments d'ennuis, de doutes, puis de réconfort au moment de lire les mots de sa bien-aimée, son frère ou sa marraine. Certains soldats de la Première Guerre mondiale se sont même montrés poètes dans la douleur, au moment de partager leurs pensées avec leurs proches. Leurs essais, ceux qui n'étaient pas censurés, se sont souvent retrouvés dans la presse de l'époque, comme une chronique de la Grande Guerre, vue de l' la veille de la célébration du centenaire de l'armistice, RetroNews, le site de presse de la Bibliothèque nationale de France BNF, nous ouvre ses archives afin de picorer dans ces écrits d'où jaillissaient parfois l'espoir, l'amour et l'humour ! Lorsque tu reviendras, je te gâterai de caresses… » C'est vêtu comme un ours […] ça attend sa marmite […] C'est informe, innommable et souvent plein de poux. C'est un poilu, madame… et c'est votre époux ! » Ce 18 août 1916, le journal Le Radical publie en brève ces quelques lignes d'un homme à qui le front n'a visiblement pas enlevé sa comme celui-là, un certain Paquito, dont la lettre à sa douce - en colère - est publiée dans Le XIXe siècle Chère petite femme, ta dernière lettre m'apprend que la Censure a mis le nez dans ta correspondance et je crois deviner, à te lire, combien tu es ennuyée de cet accident et péniblement surprise de voir ainsi violer notre intimité et nos tendres secrets… Hélas, Mienne chérie, […] c'est la guerre ! Il n'y a plus à s'étonner de rien », écrit d'abord le soldat, qui poursuit en imaginant, avec humour, que le censeur est peut-être un ecclésiastique choqué de leurs manifestations de tendresse… Et d'en conclure sa lettre en pied de nez à son potentiel lecteur intrus Cher trésor adoré, écris-moi toujours de bien amoureuses missives qui me sont ici le meilleur souvenir des heures de bonheur que nous avons vécues. Je te répondrai toujours. Et la peste soit sur le censeur ! Reçois, à sa barbe, les plus doux baisers de ton mari qui t'adore. »Avec une telle relecture, les coquineries doivent être discrètes, et imagées. Lorsque tu reviendras de tes froides tranchées, de tes boyaux sanglants, ô mon pauvre adoré, pour te faire oublier tes rudes chevauchées, tes douleurs, ton cafard, ce calvaire abhorré, que je te gâterai de suaves caresses, que je te donnerai tous mes soins les plus doux, revivant en un jour nos premières ivresses en te couvrant, chéri, des baisers les plus fous ! » Bien qu'intitulé Lettre d'une femme à son mari », ces quelques phrases publiées dans Le Ver Luisant en janvier 1918 ne sont que l'expression du fantasme d'un soldat poète, le sergent André Soriac, reconnu à l'époque par ses pairs pour la musique de ses les écrits enthousiastes des soldats sont détournés pour faire la propagande d'une guerre qui dure… Comme ce 23 février 1916 dans Le Matin, dans une compilation de morceaux choisis intitulée La confiance de nos soldats ». Du fond des tranchées, nous jugeons… » Note bien que si, pour avoir la victoire, il fallait encore se lancer dans la fournaise, nous sommes toujours prêts à y entrer ! » aurait ainsi écrit l'un d'eux. Et l'article de conclure Chacun, suivant son tempérament, exprime sa foi imperturbable en l'avenir de la patrie. »Quelques réflexions politiques filtrent toutefois. Comme ce 7 décembre 2015 dans le journal Le Siècle Du fond des tranchées, nous jugeons les événements de notre politique extérieure en nous éloignant, chaque jour davantage, du point de vue qui semble prédominer dans les milieux gouvernementaux. […] La plus abominable violence est déchaînée contre nous […] En dépit des conventions internationales qu'elle avait signées, l'Allemagne emploie contre nos soldats des gaz asphyxiants, elle maltraite les prisonniers de guerre, leur donne une nourriture insuffisante, les contraint à des travaux de défense contre nous-mêmes […] et pourtant dans les sphères dirigeantes de Paris, on affecte des scrupules pour user de représailles ou tirer parti de toutes les armes qui peuvent concourir à notre défense », accuse un homme qui signe L'Ancien ».Et certains de partager leur réjouissance de la fin de la guerre, comme ce soldat en permission qui écrit à un camarade resté au front Je regrette presque d'avoir eu ma permission au moment de la victoire. J'aurais voulu être avec vous, pour entendre chuinter le dernier obus et claquer la dernière balle de mitrailleuse. […] Nous aurions trinqué ensemble. […] Comme j'ai pensé à vous en lisant les journaux… […] Vraiment oui, vous avez dû être heureux. L'ennemi capitule. Nous avons la victoire complète. Et vous y entrerez, en Allemagne, Parbleu ! »
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lettre d un poilu Ă  sa femme